Jean Claude's news

"Le moment présent a un avantage sur tous les autres : il nous appartient." (Charles Caleb Colton)

 
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C’ETAIT PREVU… 17 décembre, 2010

Classé dans : Non classé — jcn54 @ 13:10

Elle a commencé à tomber en début de soirée hier, et ce matin nous avions 20cm de neige!

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On ne voit même plus le bassin!

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Mais quand elle est immaculée comme là, qu’elle est belle!

 

 
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LA BUCHE DE NOEL

Classé dans : NOEL — jcn54 @ 9:20

La bûche de Noël réunissait autrefois tous les habitants de la maison, tous les hôtes du logis, parents et domestiques, autour du foyer familial.

La bénédiction de la bûche avec les cérémonies traditionnelles dont elle se parait n’était que la bénédiction du feu, au moment où les rigueurs de la saison le rendent plus utile que jamais : cet usage existait surtout dans les pays du Nord. Il est tout naturel qu’on mette en honneur, au 25 décembre, au cœur de l’hiver, le morceau de bois sec et résineux qui promet de chauds rayonnements aux membres raidis sous la bise.

Partout, même dans les plus humbles chaumières, on veillait autour de larges foyers où flambait la souche de hêtre ou de chêne, avec ses bosses et ses creux, avec ses lierres et ses mousses. La porte restait grande ouverte aux pauvres gens qui venaient demander un gîte pour la nuit. On leur versait en abondance le vin, la bière ou le cidre, suivant les contrées, et une place leur était accordée à la table de famille. On attendait ainsi la Messe de minuit.

Qu’on se représente les immenses cheminées d’autrefois : sous leur manteau pouvait s’abriter une famille tout entière, parents, enfants, serviteurs, sans compter les chiens fidèles et les chats frileux. Une bonne vieille grand’mère contait des histoires qu’elle interrompait seulement pour frapper la bûche avec sa pelle à feu et en faire jaillir le plus possible d’étincelles, en disant : « Bonne année, bonnes récoltes, autant de gerbes et de gerbillons ».

La bûche de Noël était un usage très répandu dans presque toutes les provinces de notre vieille France. Voici, d’après Cornandet, le cérémonial que l’on suivait dans la plupart des familles : dès que la dernière heure du jour s’était fondue dans l’ombre de la nuit, tous les chrétiens avaient grand soin d’éteindre leurs foyers, puis allaient en foule allumer des brandons à la lampe qui brûlait dans l’église, en l’honneur de Jésus. Un prêtre bénissait les brandons que l’on allait promener dans les champs. Ces brandons portaient le seul feu qui régnait dans le village. C’était le feu bénit et régénéré qui devait jeter de jeunes étincelles sur l’âtre ranimé.

Cependant, le père de famille, accompagné de ses enfants et de ses serviteurs, allait à l’endroit du logis où, l’année précédente, ils avaient mis en réserve les restes de la bûche. Ils apportaient solennellement ces tisons ; l’aïeul les déposait dans le foyer et tout le monde se mettant à genoux, récitait le Pater, tandis que deux forts valets de ferme ou deux garçons apportaient la bûche nouvelle. Cette bûche était toujours la plus grosse qu’on pût trouver ; c’était la plus grosse partie du tronc de l’arbre, ou même la souche, on appelait cela la Coquede Noël (le gâteau allongé en forme de bûche que l’on donnait aux enfants le jour de Noël portait encore au début du XXe siècle dans certaines provinces le nom de coquille ou petite bûche, en patois, le cogneu).

On mettait le feu à cette Coque et les petits enfants allaient prier dans un coin de la chambre, la face tournée contre le mur, afin, leur disait-on, que la souche leur fît des présents ; et tandis qu’ils priaient l’Enfant-Jésus de leur accorder la sagesse, on mettait au bout de la bûche des fruits confits, des noix et des bonbons. A onze heures, tous les jeux, tous les plaisirs cessaient. Dès les premiers tintements de la cloche, on se mettait en devoir d’aller à la messe, on s’y rendait en longues files avec des torches à la main. Avant et après la messe, tous les assistants chantaient des Noëls, et on revenait au logis se chauffer à la bûche et faire le réveillon dans un joyeux repas.

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NOIX DE SAINT JACQUES LAQUEES

Classé dans : RECETTES DE NOEL — jcn54 @ 9:19

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INGRÉDIENTS : (4 pers.) 12 noix de Saint-Jacques, 500 g de carottes, 15 cl de crème fraîche, 100 g de beurre 2 c. à soupe de sauce soja, 1 c. à café de vinaigre balsamique, 1 c. à café de muscade, 1 c. à café de cannelle en poudre, 1 c. à café de girofles sel et poivre du moulin.

Épluchez les carottes.

Faites-les cuire dans une casserole à l’eau bouillante pendant 10 min.

Salez puis poivrez.

A l’aide d’un blender, mixez la purée.

Ajoutez la crème fraîche puis le beurre.

Réduisez la sauce soja avec un trait de vinaigre balsamique puis les épices.

Poêlez les noix dans cette réduction.

Dressez une quenelle de purée et posez 3 noix de Saint-Jacques laquées.

Servez et dégustez.

 

 
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CA S’EST PASSE UN 17 DECEMBRE

Classé dans : JOUR ANNIVERSAIRE — jcn54 @ 9:17

Premiers vols des frères Wright, c’est en 1903.

Le 17 décembre 1903, les frères Wibur et Orville Wright(36 et 32 ans) effectuent à tour de rôle quatre vols de quelques dizaines de mètres sur la plage de Kill Devil, à Kitty Hawk, en Caroline du Nord.

Quelques villageois témoins de ces modestes exploits ne se doutent pas qu’ils vont déboucher sur la naissance de l’aviation…

Des expérimentateurs tenaces et discrets

Un siècle plus tôt, des Français avaient réussi à s’élever dans le ciel à bord d’un engin plus léger que l’air, la «montgolfière» mais cette performance sans précédent avait eu peu de conséquences pratiques.

En 1890, la machine volante du Français Clément Ader, l’une des premières à avoir été appelée «avion», vole à l’altitude de… quelques dizaines de centimètres (sur terrain plat, notons-le, et non sur des dunes). Mais son inventeur ne réussit pas à «transformer» l’essai. Les frères Wright vont être plus chanceux et de leur premier essai date le véritable essor de l’aviation.

Wilbur et Orville, fabricants de cycles passionnés de mécanique, tentent d’abord de développer le vol plané.

Ils y échouent et sans se décourager entreprennent dans leur atelier Dayton (Ohio) la construction du Wright Flyer. Il s’agit d’un biplan de 274 kg, avec deux ailes parallèles de 12 mètres d’envergure. Entre les ailes, un moteur à essence de 16 CV entraîne deux hélices en bois au moyen de chaînes de vélo.

Le 14 décembre, ils transportent leur engin jusqu’à Kitty Hawk où s’étend une longue plage déserte.

Après un premier essai raté et quelques réparations, ils se remettent aux commandes à tour de rôle trois jours plus tard, malgré un fort vent de face. Et c’est enfin le succès avec un vol de 260 mètres en 59 secondes à 3 mètres au-dessus du sol.

Orville prend soin de photographier le vol de son frère mais celui-ci passe totalement inaperçu de la presse américaine. Il est vrai que les deux frères restent très discrets sur leurs travaux et leurs brevets. Ils poursuivent l’amélioration de leur engin à travers deux nouvelles versions, les Flyer 2 et 3. Deux ans plus tard, le 5 octobre 1905, Wilbur effectue un vol de 38 kilomètres en 39 minutes sur Flyer 3  !

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17/12/2010

Classé dans : PROVERBES, DICTONS, CITATIONS — jcn54 @ 9:08

PROVERBE :  » Quand on trouve son bonheur en soi-même, on fait peu d’estime de celui qui peut venir d’ailleurs. « 

DICTON :  » Décembre de froid trop chiche, ne fait pas le paysan riche. « 

CITATION : « Vous venger ? Pourquoi ? La vie s’en chargera toute seule. Et vous serez bien avancé quand votre ennemi vous fera pitié. « 

( Paul Chaponnière )

 

 
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VENDREDI 17 DECEMBRE 2010

Classé dans : EPHEMERIDE DU JOUR — jcn54 @ 9:01

351è jour de l’année, 14 jours restants, 50è semaine, aujourd’hui on fête les Judicaël ainsi que les Gaël, Gaëlle, Tessa et Tetta.

Le jour se lève à 08h38 et se couche à 16h54.

Lune croissante pleine à 68%.

 

 

 
 

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