LA TOUR DE LA LIBERTE A SAINT-DIE(88) 7 juillet, 2011
Erigée au Jardin des Tuileries en 1989 pour célébrer le bicentenaire de la Révolution, cette tour fut transférée à Saint-Dié-des-Vosges en 1990. D’une hauteur de 36 mètres et d’une envergure de 32 mètres, l’élégante et curieuse construction mêlant verre, métal et câbles, imaginée par les architectes vosgiens Nicolas Normier et Jean-Marie Hennin, offre une superbe vue sur la ville et les Vosges, et abrite une intéressante collection de 52 bijoux. Ces derniers, inspirés de dessins de Georges Braque, sont l’œuvre du maître lapidaire Heger de Loewenfeld.
Ses dimensions
La Tour de la Liberté est un symbole de liberté. Inspirés par le film « Jonathan Livingston le goéland » les architectes vosgiens Nicolas Normier et Jean-Marie Hennin l’ont réalisée à l’occasion du Bicentenaire de la Révolution française. Construite à Golbey près d’Epinal, elle fut installée à Paris en 1989 au Jardin des Tuileries.
La ville de Saint-Dié-des-Vosges l’a acquise contre un franc symbolique l’année suivante et l’inaugure le 14 juillet 1990.
Pour ses créateurs, c’est « la Cathédrale de l’Espoir », car elle est dédiée aux personnes à mobilité réduite, « à tous ceux pour qui tout espoir de conquête s’arrête devant l’incompréhension et la peur des autres ».
Elle a l’allure d’un grand oiseau de métal blanc, de 36 m de haut faite principalement d’acier, de toile et de verre.
Erigée au Parc Mansuy, la Tour abrite une prestigieuse collection de bijoux nés de la rencontre du peintre Georges Braque, l’un des pères du cubisme, avec un maître lapidaire, Henri-Edouard Heger de Loewenfeld.
Le belvédère, en accès diurne libre, situé à 20 m du sol, permet d’admirer la ville et la fameuse ligne bleue des Vosges immortalisée par Jules Ferry, enfant de Saint Dié.
Parc Jean Mansuy, Rue Jules Ferry.
Jonathan le Goéland avait eu l’intuition, toute sa vie durant, qu’un jour elle s’illuminerait de cet instant unique. [...] Il volerait ainsi plus haut encore et le moment était bien venu pour lui d’aller vivre dans sa vraie patrie. »
« - Nous sommes libres d’aller où bon nous semble et d’être ce que nous sommes. »
Richard Bach, ancien pilote de l’US Air Force publia Jonathan Livingston le Goéland en 1970.
Cette superbe structure métallique de Normier et Hennin nous invite à l’envol.
Selon une tradition maintenant solidement établie Christian Pierret, Secrétaire d’Etat ayant en charge la Poste et Maire de Saint-Dié, a fait réaliser un timbre sur sa ville.
Premier jour le 3 octobre 1998
Vente générale le 5 octobre 1998
Valeur faciale : 3.00 F
Taille image : Timbre vertical 21,45×36 mm Dentelure 13
Couleur :: polychrome
Imprimé en taille douce rotative à 50 timbres par feuille
Vendu à 9 361 812 exemplaires
Géniale cette tour. Je n’en avais jamais entendu parler, merci JC.
J’ai farfouillé un peu le Ouèbe à son sujet, ben vouais ch’suis curieux comme une pie
Jeudissime journée l’ami JC
Elle est vraiment très belle cette tour , je ne suis pas fan de ce genre d’architecture , mais là l’ensemble reste agréable
bises
Un peu futuriste quand même cette tour. Je me demande si elle s’inscrit bien dans le paysage vosgien.
Bonne journée.
Bonjour Jean Claude
Une joli série Jean claude, je ne connaissait pas.
Je te souhaite une bonne journée, Amitiés.
Une structure très légère !!!
ARSENE GRISALI
originale et futuriste cette tour !
ado je faisais la collection de timbres, j’en ai encore tout un tas que je récolte par le courrier reçu au bureau et à décoller;..peut être à ma retraite
Bonjour mon très cher Jean Claude
sette tour est vraiment imposante
J’au déjà lu deux fois Jonathan Livingston le goeland ,je crois que je le relirai encore ,tant j’ai aimé
Je te souhaite mon ami une bonne journée avec de gros bisous
Méline
jolie la tour.. 36 m, c’est haut.. j’y monte pas.
je te souhaite une bonne fin de journée
bisouxxx baveuxxx
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