Jean Claude's news

"Le moment présent a un avantage sur tous les autres : il nous appartient." (Charles Caleb Colton)

 
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REMBRANDT HARMENSZOON VAN RIJN 15 mars, 2012

Classé dans : ART — jcn54 @ 7:59

Rembrandt Harmenszoon van Rijn, dit Rembrandt, est un peintre néerlandais, né le 15 juillet 1606 à Leyde, Pays-Bas, et mort le 4 octobre 1669 à Amsterdam.

Rembrandt est considéré comme l’un des plus grands peintres de l’Histoire de l’Art baroque et le plus important des peintres néerlandais du 17ème siècle.

En 1621, il se consacre entièrement à la peinture et devient apprenti de Jacob van Swanenburgh, artiste de leyde. par la suite, il réalise six mois d’apprentissage à Amsterdam chez Pieter Lastman, le plus important maître de cette époque.

En 1631, sa notoriété croissante l’oblige à s’installer à Amsterdam d’où les commandes de portraits affluent.

En 1639, Rembrandt et sa femme, Saskia, s’installent dans une maison cossue de Jodenbreestraat qui deviendra plus tard le Musée de Rembrandt.

Désargenté, il meurt le 4 octobre 1669 à Amsterdam et fut inhumé dans l’église de Westerkerk.

REMBRANDT HARMENSZOON VAN RIJN dans ART vieillardassisdansunfauteuil

Vieillard assis dans un fauteuil

lecondanatomiedudocteur dans ART

La leçon d’anatomie du Dr Tulp

lasaintefamille

La Sainte famille

 

 
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SACRIFIE

Classé dans : Non classé — jcn54 @ 7:58

Un jeune moine tibétain s’est immolé par le feu dans le sud-ouest de la Chine.

SACRIFIE sacrifie

 Le bonze, âgé de 18 ans, était originaire du monastère de Kirti, haut lieu de la résistance tibétaine. Il s’est transformé en torche humaine dans la ville d’Aba, dans l’ouest de la province du Sichuan. Au total, au moins vingt-six Tibétains se sont immolés par le feu ou ont tenté de le faire en moins d’un an dans les zones tibétaines chinoises. Ils se plaignent de la répression de leur religion et de leur culture et de ce qu’ils considèrent comme une domination grandissante des Han, ethnie fortement majoritaire en Chine. Le mois de mars est aussi un moment sensible pour les Tibétains. Le dalaï-lama, leur chef spirituel, avait en mars 1959 pris le chemin de l’exil, traversant à pied l’Himalaya pour arriver en Inde.

 

 
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CA S’EST PASSE UN 15 MARS

Classé dans : JOUR ANNIVERSAIRE — jcn54 @ 7:56

 Paris se dote d’une police moderne, c’est en 1667.

Le 15 mars 1667, par un édit signé à Saint-Germain-en-Laye, le roi Louis XIV et son ministre Colbert confient à Gabriel Nicolas de La Reynie (42 ans) la charge de lieutenant de police de Paris avec mission d’éradiquer la « Cour des miracles ». C’est l’acte de naissance de la police moderne…

Une capitale indigne du Roi-Soleil

Le jeune roi, qui vit encore au Louvre, tolère mal l’insécurité et la saleté de la capitale. Paris, qui attire des gens de tout le royaume depuis le Moyen Âge, compte alors un demi-million d’habitants dont environ 30.000 larrons et mendiants.

Déguisés en estropiés, ces derniers, pendant la journée, harcèlent le chaland en tout point de la capitale. Mais la nuit, ils se replient dans un quartier mal famé adossé à l’ancienne enceinte de Charles V, près de la porte Saint-Denis. Ils «ne sont pas plutôt de retour chez eux, qu’ils se dégraissent, se débarbouillent et deviennent sains et gaillards en un instant» (Dictionnaire historique de Paris, 1779). Cette transformation proprement «miraculeuse» vaut au quartier l’appellation ironique de «Cour des miracles» !

Pour faire face à cette engeance, la capitale dispose avant la nomination de La Reynie de guets, gardes et polices inefficaces, mal gérées et rivales. Le gouvernement de Louis XIV tente aussi de chasser les mendiants de l’espace public. En 1656, il crée un «hôpital général des pauvres» qui regroupe plusieurs établissements hospitaliers de la capitale et somme les mendiants soient de s’y rendre, soit de quitter la ville. C’est un échec.

Un policier en odeur de sainteté

Le nouveau lieutenant de police prend à cœur sa tâche. Installé au Châtelet, près de la Seine et de l’île de la Cité, il rassemble sous son autorité tous les corps de police (commissariats, prévôté de l’île, archers et exempts du guet, compagnie du lieutenant criminel). Il se fait représenter dans les 17 quartiers de la ville par 48 commissaires de police.

Il liquide aussi la Cour des miracles. Se rendant sur place avec des sergents à cheval et des soldats du guet, il fait ouvrir six brèches dans l’enceint de Charles V puis avertit au porte-voix les occupants qu’il va investir le lieu et que les douze derniers qui n’auront pas fui à temps seront pendus ou envoyés aux galères. Les truands ne se le font pas dire deux fois et s’enfuient par les brèches sans demander leur reste.

La Reynie n’a obtenu qu’une victoire provisoire car d’autres Cours des miracles se reconstitueront au fil des ans, nourries par la misère qui chasse des campagnes quantité de malheureux.

La Reynie se signale aussi par son zèle et son efficacité dans l’«Affaire des poisons», un sordide fait divers qui va jeter une ombre sur le règne du Roi-Soleil. Suite à l’arrestation et l’exécution d’une empoisonneuse, la marquise de Brinvilliers, le 17 juillet 1676, il lance ses limiers dans les milieux interlopes de Saint-Denis, où se pratique le commerce des poisons (aimablement qualifiés de «poudre de succession» car ils facilient les héritages). De fil en aiguille, de découvertes en accusations, ils remontent ainsi jusqu’à la Cour de Versailles et à l’entourage du roi, jusqu’à compromettre gravement la maîtresse en titre de celui-ci, Madame de Montespan.

Le lieutenant de police, plus tard lieutenant général de police, a une vision extensive de sa mission. Il fait ainsi installer l’éclairage public dans les rues à l’aide de lanternes afin d’en diminuer l’insécurité. Il développe aussi le pavage des rues et l’adduction d’eau et engage avec méthode la lutte contre les incendies et les épidémies, faisant de Paris l’une des métropoles les plus propres d’Europe… À bout de forces, il ne se retirera qu’en 1697, entouré de l’estime générale.

CA S'EST PASSE UN 15 MARS dans JOUR ANNIVERSAIRE lareynie

(La Reynie)

 

 
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15/03/2012

Classé dans : PROVERBES, DICTONS, CITATIONS — jcn54 @ 7:48

PROVERBE :  » Ce que tu donnes, donne-le avec un visage joyeux. « 

DICTON :  » À la mi-mars, le coucou est dans l’épinard. « 

CITATION :  » L’ouvrier qui veut bien faire son travail doit commencer par aiguiser ses instruments. « 

( Confucius )

 

 
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JEUDI 15 MARS 2012

Classé dans : EPHEMERIDE DU JOUR — jcn54 @ 7:43

75è jour de l’année, 291 jours restants, 11è semaine, aujourd’hui on fête les Louise de Marillac ainsi que les Lucrèce.

Le soleil se lève à 06h48 et se couche à 18h40.

Lune décroissante pleine à 50%.

 

 
 

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