Jean Claude's news

"Le moment présent a un avantage sur tous les autres : il nous appartient." (Charles Caleb Colton)

 
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BASILIQUE NOTRE-DAME DE GRACE DE CAMBRAI (59) [1] 19 avril, 2012

Classé dans : CHAPELLES, EGLISES, CATHEDRALES — jcn54 @ 7:43

La cathédrale Notre-Dame de Grâce de Cambrai est à la fois basilique et ancienne église métropolitaine (ancien siège de l’archevêché de Cambrai regroupant les diocèses suffragants d’Arras et de Lille).

L’ancienne cathédrale de Cambrai ayant été détruite pendant la Révolution, le siège épiscopal fut transféré en 1804 dans l’église de l’abbaye du Saint-Sépulcre, qui date de la fin du XVIIe siècle.

Elle fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le 9 août 1906.

BASILIQUE NOTRE-DAME DE GRACE DE CAMBRAI (59) [1] dans CHAPELLES, EGLISES, CATHEDRALES basiliquecambrai

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DERNIER VOL

Classé dans : Non classé — jcn54 @ 7:42

La navette spatiale Discovery quittera pour la dernière fois le Centre spatial Kennedy, ce mardi en Foride, sur le dos d’un avion modifié qui l’emmènera à Washington.

DERNIER VOL derniervol

 L’appareil qui transportera la plus ancienne des navettes spatiales américaines quittera Cap Canaveral à l’aube et effectuera un court vol d’adieu circulaire au-dessus du Centre spatial avant de se diriger vers le nord. Elle séjournera par la suite au Musée Smithsonian, de Washington. Des travailleurs du Centre spatial Kennedy se sont rassemblés, lundi, avant d’être photographiés devant Discovery une dernière fois. Les six astronautes qui ont été les derniers à voyager à bord de Discovery, en mars 2011, étaient aussi sur place lors d’une cérémonie qui a suscité des moments émouvants. Discovery, qui a été envoyée dans l’espace 39 fois, est la première des trois navettes restantes de la NASA à être confiée à un musée. Son premier vol a eu lieu en 1984.

 

 
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LA PAILLE

Classé dans : INVENTIONS — jcn54 @ 7:41

LA PAILLE dans INVENTIONS paille

 Le 3 janvier 1888, Marvin Stone déposa le premier brevet pour une paille à boire. Cet industriel, qui fabriquait déjà des supports pour cigarettes, avait commencé par concevoir un prototype très simple : une feuille de papier enroulée sur elle-même. Par la suite, il utilisa du papier manille et de la paraffine pour éviter que le papier ne détrempe dans le liquide.

 

 
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LAPIN AUX LEGUMES DU SOLEIL

Classé dans : CUISINE GOURMANDE — jcn54 @ 7:40

LAPIN AUX LEGUMES DU SOLEIL dans CUISINE GOURMANDE lapinlégumesdusoleil

INGRÉDIENTS : (4 Pers.) 4 cuisses de lapin, 1 céleri-rave, 4 carottes, 1 botte d’oignons grelot, 250 g de tomates cerises, 2 cuil. à soupe d’huile d’olive, 25 cl de vin blanc sec, 1/2 bouquet de sauge, sel, poivre.

Préchauffez le four th. 6 (180 °C). Salez et poivrez les cuisses de lapin. Pelez les carottes et le céleri et coupez-les en morceaux. Rincez les tomates et la sauge. Pelez les oignons.

Dans une cocotte allant au four, faites chauffer l’huile et mettez les cuisses de lapin à dorer. Ajoutez les carottes et le céleri, la sauge et les oignons. Faites revenir 15 min. Versez le vin, salez, poivrez.

Enfournez la cocotte 30 min. Ajoutez les tomates à mi-cuisson et servez bien chaud accompagné de pâtes fraîches.

Bon appétit.

 

 
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CA S’EST PASSE UN 19 AVRIL

Classé dans : JOUR ANNIVERSAIRE — jcn54 @ 7:39

CA S'EST PASSE UN 19 AVRIL dans JOUR ANNIVERSAIRE revolteghettovarsovie

Soulèvement du ghetto de Varsovie, c’est en 1943.

Le 19 avril 1943, les 60.000 juifs qui subsistent dans le ghetto de Varsovie se soulèvent contre les SS du général Jürgen Stroop, qui a reçu de Hitler l’ordre de les exterminer. Leur combat sans espoir durera jusqu’au 16 mai 1943. Tous seront dirigés vers les camps d’extermination sauf 7.000 d’entre eux, morts les armes à la main ou qui se seront suicidés comme leur chef, le jeune Mordechai Alinewicz…

Le retour des ghettos

Quand, en 1939, les Allemands occupent l’ouest de la Pologne, ils rencontrent sur place des communautés juives très importantes, qui représentent en moyenne dix pour cent de la population mais sont concentrées dans les villes où elles ont développé une culture originale. Varsovie, par exemple, compte 380.000 juifs sur 1.300.000 habitants.

La majorité des trois millions de juifs polonais d’avant-guerre parlent et écrivent le yiddish, une langue qui mêle l’allemand et l’hébreu. Ils font du commerce, publient des livres et composent des chansons dans cette langue. Ils éduquent aussi leurs enfants en yiddish, le polonais, le russe et l’allemand étant réservés à l’enseignement supérieur.

En Pologne comme en Tchécoslovaquie et dans tous les autres pays d’Europe centrale et orientale que viendront à occuper les nazis, les Juifs sont progressivement regroupés dans des quartiers clos sous surveillance policière, des «ghettos» d’un nouveau genre où ils sont amenés à survivre dans l’ignorance de leur avenir.

En 1939-1940, encore incertains sur le sort à réserver aux Juifs, les nazis veulent en premier lieu les mettre à l’écart du reste de la population et les briser en tant qu’êtres humains et communauté sociale. Ils veulent aussi, tant qu’à faire, exploiter leur force de travail et les dépouiller de leurs biens.

Les ghettos vont remplir ces fonctions avant que le relais ne soit pris par les camps d’extermination, à partir de la fin 1941. On recense à la fin de la Seconde Guerre mondiale un millier de ghettos, de la Pologne à la Grèce : les plus petits comptent quelques centaines de personnes, les plus grands des dizaines ou des centaines de milliers, comme à Varsovie, le plus grand, ou à Lodz.

Cette «ghettoïsation» ne semble pas avoir été planifiée à Berlin. Elle est le produit d’initiatives locales.

Le ghetto de Varsovie

En novembre 1940, quelques mois à peine après l’invasion allemande, les Juifs de la capitale polonaise et des environs, au nombre d’environ un demi-million, sont regroupés dans un quartier transformé en ghetto et isolé du reste de la ville par des barrières, des murs et des façades aveugles.

Le quartier étant coupé en deux par une artère, les Juifs passent d’un côté à l’autre par une passerelle. Le ghetto occupe 300 hectares, soit une densité d’environ 150.000 habitant/km2 (c’est quatre à cinq fois plus que le maximum observé dans une ville normale).

Les habitants se voient accorder par l’occupant une ration quotidienne de 184 calories. C’est dix fois moins que le minimum indispensable au maintien en bonne santé et qui plus est, cette nourriture se présente sous une forme rebutante (pain noir, légumes défraîchis, viandes avariées….). Autrement dit, pour simplement survivre, les Juifs du ghetto, toutes classes sociales confondues, vont devoir chercher d’autres sources d’approvisionnement et celles-là ne leur seront accessibles que par des petits boulots, des trafics illicites ou le marché noir.

Les anciennes élites intellectuelles se déclassent faute d’être utiles à la survie du groupe tandis qu’accèdent au sommet de la hiérarchie sociale les truands et mafieux en tous genres. Ceux-là sont en effet les mieux outillés pour gérer les trafics avec les Allemands et les Polonais de l’extérieur. Pour faire circuler les objets de valeur et l’argent caché dans les bas de laine, ils organisent des monts-de-piété ou… des cercles de jeux. Troublant paradoxe : ces brutes, en général, soutiennent les mouvements de résistance et apportent leur écot aux associations d’entraide.

Les gens qui le peuvent s’emploient dans les ateliers du ghetto. Leurs principaux donneurs d’ordres sont les fournisseurs de l’armée allemande. Pour les soldats de la Wehrmacht, ils produisent en particulier des pièces d’habillement.

Au final, on estime que les habitants du ghetto de Varsovie arrivent à une moyenne de 600 calories par jour, ce qui reste globalement très insuffisant et entretient la disette. Cette situation humiliante et déstabilisante va se prolonger pendant près de dix-huit mois, jusqu’aux premières déportations. Dix-huit mois pendant lesquels chacun essaie simplement de survivre.

La surpopulation, le manque d’hygiène, le manque de nourriture et de médicaments, les épidémies et les famines, le froid et la chaleur, les humiliation et brutalités de tous ordres ont raison d’un grand nombre d’habitants du ghetto, faibles, attachés à des principes d’un autre âge ou malchanceux. Beaucoup meurent soit de faim, soit de maladie. À moins que leur chemin ne croise celui d’un SS en vadrouille dans le ghetto qui, sur un caprice, va les battre ou les abattre.

Dans les hôpitaux, les médecins confrontés à un manque cruel de médicaments sont confrontés à de douloureux cas de conscience : vaut-il mieux réserver les médicaments disponibles aux malades qui ont les plus grandes chances de survie et sacrifier les autres, ou plutôt les répartir de façon équitable jusqu’à épuisement des stocks, avec la quasi-certitude de perdre tous les malades à brève échéance ?…

Malgré ces tragédies – ou à cause d’elles -, les habitants du ghetto entretiennent une vie culturelle intense. C’est, pour beaucoup, une façon de s’accrocher à la vie… La présence de 40 à 50 musiciens de niveau international conduit à la formation d’un orchestre symphonique. Il donne en deux ans 50 concerts payants en faisant salle comble, cela malgré le danger qu’il y a à sortir de chez soi ! Notons aussi que le ghetto inclut, outre les synagogues, quatre églises en activité pour quelques milliers de Juifs convertis au christianisme, lesquels n’en sont pas moins persécutés par les nazis !

La «Grande Déportation»

Comme tous les ghettos, celui de Varsovie est administré par un conseil juif («Judenraat»). Un ingénieur, Adam Czerniakow, a été désigné par la mairie de Varsovie pour le présider. Le 22 juillet 1942, les Allemands lui demandent une liste d’enfants en vue de les transférer vers l’Est, dans des camps de travail (c’est le motif officiel).

Il est possible qu’Adam Czerniakow ait eu des informations sur la vraie nature de ces convois par le biais de Juifs évadés du camp d’extermination de Chelmno. Plus vraisemblablement a-t-il considéré qu’envoyer des enfants dans des camps de travail revenait de toute façon à les condamner à mort. En homme d’honneur, il ne supporte pas de participer à cette infamie et choisit de se suicider. Il laisse une lettre émouvante à ses coreligionnaires pour s’excuser de son geste mais ne fournit aucune information sur ce qu’il aurait pu savoir du sort des futurs déportés.

C’est donc sans Czerniakow que les Allemands entament la «Grande déportation»… Jour après jour, 5.000 à 6.000 personnes sont emmenées à la Umschlagplatz et, de là, transférées en train vers Treblinka. À chaque habitant du ghetto qui s’inscrit pour le pseudo-camp de travail, les Allemands donnent trois kilos de pain et un pot de confiture ! Cela suffit à lever bien des hésitations ! On se dit : «Pourquoi nous donneraient-ils du pain s’ils voulaient nous massacrer ?».

Le 12 septembre 1942, quand cette première déportation s’achève, il ne reste que 60.000 survivants dans un ghetto dont la surface a été drastiquement réduite par les Allemands.

 

 
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19/04/2012

Classé dans : PROVERBES, DICTONS, CITATIONS — jcn54 @ 7:32

PROVERBE :  » Il faut battre le fer quand il est chaud. « 

DICTON :  » À la Sainte-Léonide, chaque blé pousse rapide. « 

CITATION :  » L’exploitation des imbéciles ? Mais les imbéciles ont toujours été exploités, et c’est justice. Le jour où ils cesseront de l’être, ils triompheraient, et le monde serait perdu. « 

( Alfred Capus )

 

 
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JEUDI 19 AVRIL 2012

Classé dans : EPHEMERIDE DU JOUR — jcn54 @ 7:26

110è jour de l’année, 256 jours restants, 16è semaine, aujourd’hui on fête les Emma.

Prénom fêté autrefois : Léonide.

Le jour se lève à 06h36 et se couche à 20h33.

 

 
 

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