Jean Claude's news

"Le moment présent a un avantage sur tous les autres : il nous appartient." (Charles Caleb Colton)

 
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BRASSERIE HISTORIQUE DE L’ABBAYE DU CATEAU (59) [1] 23 avril, 2012

Classé dans : RENCONTRES AU HASARD DE NOS BALADES — jcn54 @ 7:38

Etablie au coeur d’une ancienne abbaye bénédictine, la Brasserie historique de l’Abbaye du Cateau est aujourd’hui un site classé.

Elle se situe dans le coeur historique de la cité, à l’emplacement de l’ancienne abbaye Saint-André, autour de laquelle s’est organisée la ville, enclose dans les remparts. De part et d’autre de la cour existent encore plusieurs bâtiments (écuries…) dans lesquels était située la première brasserie qui a fonctionné jusqu’en 1926 et qui produisait de 10.000 à 12.000 hectolitres par an.
Après 75 ans de fermeture et de nombreux travaux, la Brasserie-malterie de l’Abbaye du Cateau ouvre de nouveau ses portes aux visiteurs! On peut y découvrir et déguster le fleuron de la brasserie : la bière VIVAT.Il est également possible de se restaurer sur place du jeudi midi au dimanche midi.
 
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PLAN DE TABLE

Classé dans : CINEMA : les films que nous avons aimés... — jcn54 @ 7:37

Nous avons adoré ! Un superbe premier film de Christelle Raynal qui ne nous a pas déçus. Un très bon casting,  Dubosq dans un rôle secondaire nous convient à merveille, du coup il n’en fait pas trop comme d’habitude et de ce fait il est supportable. Un film drôle et touchant, de bons comédiens et un dénouement heureux qui donne la pêche…

PLAN DE TABLE dans CINEMA : les films que nous avons aimés... plandetable

Synopsis : Suite à un câlin bref, mais intense, la table dressée pour la noce est en désordre. La mariée court se recoiffer, tandis que l’homme replace les cartons sans respecter le plan de table. Le hasard fera-t-il bien les choses ? Ou bien devra-t-il donner un coup de main au destin ?

 

 
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QUI C’EST ?

Classé dans : HEURTOIRS — jcn54 @ 7:36

Un heurtoir ou marteau de porte est un accessoire fixé sur la face extérieure d’une porte d’entrée, à hauteur d’homme, dont une partie est articulée et peut être frappée sur le reste de l’objet ou sur la porte afin d’émettre un bruit, et ainsi permettre aux visiteurs de signaler leur présence aux occupants.

Je vous propose d’en découvrir quelques uns vus lors de mes promenades les jours à venir…

QUI C'EST ? dans HEURTOIRS ARDECHE-2012-110

 

 
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POUSSEZ L’ESCARPOLETTE

Classé dans : INSOLITE — jcn54 @ 7:34

Pour l’empêcher de s’écraser quelque 210 mètres plus bas, elle ne peut compter que sur un harnais et la poigne de l’employé de la tour qui abrite les bureaux de la télévision et de la radio de la ville chinoise de Harbin, au nord-est du pays.

POUSSEZ L'ESCARPOLETTE dans INSOLITE lescarpolette

Voici la nouvelle attraction à la mode: une balançoire au bord du vide. Un jeu d’enfant transformé en épreuve digne de «Fort Boyard» avec, au bout, le grand frisson ou…la crise cardiaque. Pourtant, cet agrès attire, chaque jour, davantage d’amateurs avides de sensations fortes. Dans un genre similaire, àLas Vegas, la ville américaine de toutes les démesures, un hôtel propose une chute libre de plus de 200 mètres avec réception en douceur devant l’entrée du casino. Qui dit mieux?

 

 
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TERRINE DE PRINTEMPS

Classé dans : CUISINE GOURMANDE — jcn54 @ 7:32

TERRINE DE PRINTEMPS dans CUISINE GOURMANDE terrineprintemps

INGRÉDIENTS : (4 Pers.) 1 lapin de 1 kg environ,  350 g de petits pois, 1 oignon, 2 gousses d’ail, 1 carotte, 1 bouquet garni, 10 g de gélatine, sel, poivre en grains.

A faire la veille.

Mettez la gélatine dans de l’eau froide. Faites frémir 1 litre d’eau. Hors du feu, incorporez la gélatine en remuant.

Dans un faitout, réunissez la lapin coupé en morceaux, la carotte, l’oignon et l’ail pelés, le bouquet garni, le poivre, du sel et l’eau avec la gélatine essorée. Faites cuire à feu doux 1 h 30 sans laisser bouillir. Retirez la viande du faitout, filtrez le bouillon et laissez refroidir.

Pendant ce temps, faites cuire les petits pois écossés 5 min à l’eau bouillante salée.

Désossez la viande et effilochez-la. Versez 1 cm de bouillon dans une terrine, disposez des petits pois, de la viande, versez du bouillon. Recommencez jusqu’en haut de la terrine. Couvrez-la et réservez 12 h au frais.

Le lendemain, trempez rapidement le fond de la terrine dans de l’eau chaude, démoulez-la, coupez-la en tranches. Servez accompagné d’une mayonnaise légère.

Bon appétit.

 

 
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CA S’EST PASSE UN 24 AVRIL

Classé dans : JOUR ANNIVERSAIRE — jcn54 @ 7:31

 

CA S'EST PASSE UN 24 AVRIL dans JOUR ANNIVERSAIRE paquesdublin

« Pâques sanglantes » à Dublin, c’est en 1916.

Le lundi de Pâques du 24 avril 1916, à Dublin, un groupe d’Irlandais du Sinn Fein et de l’IRB se soulève contre le colonisateur britannique, à l’initiative de Sir Roger Casement et James Connolly. Ils forment ce que l’on appellera un peu plus tard l’Irish Republican Army (IRA)… Parmi eux, Sean Mac Bride, qui deviendra Premier ministre de la République d’Irlande avant de fonder Amnesty International et d’obtenir pour cela le Prix Nobel de la Paix !

L’insurrection annonce l’indépendance de l’Irlande du sud, cinq ans plus tard. Eamon de Valera, rescapé de l’insurrection, deviendra le premier président de la nouvelle République…

De la loyauté à la trahison

En août 1914 a éclaté la Grande Guerre. Le Premier ministre britannique Lord Asquith convainc les Irlandais des deux camps, nationalistes et loyalistes, de mettre une sourdine à leur différend jusqu’à la fin du conflit. Il fait d’autre part avaliser le texte du «Home rule» (autonomie de l’île) par le roi Georges V avec la promesse d’un amendement concernant l’Ulster. Dès le début du conflit européen, les Irlandais se portent massivement volontaires dans l’armée britannique pour combattre les Allemands. Au total 200.000 environ.

Quelques extrémistes du Sinn Fein nationaliste et de l’IRB (Irish Republican Brotherhood) préfèrent toutefois appliquer l’adage : «England’s difficulty is Ireland’s opportunity» (Les difficultés de l’Angleterre sont des occasions à saisir pour l’Irlande).

L’un d’eux, Sir Roger Casement, un diplomate de belle prestance, se rend en Allemagne pour convaincre des prisonniers irlandais de prendre l’uniforme… allemand ! Il prend également contact avec les autorités allemandes et leur demande des armes en vue d’une insurrection prévue le dimanche de Pâques 1916, un 23 avril.

Les insurgés du Sinn Fein et de l’IRB disposent d’un millier de Volontaires irlandais et d’une centaine de miliciens de l’Armée citoyenne de James Connolly. Ces hommes forment ce que l’on appellera un peu plus tard l’Irish Republican Army (IRA)… Parmi eux, Sean Mac Bride, qui deviendra Premier ministre de la République d’Irlande avant de fonder Amnesty International et d’obtenir pour cela le Prix Nobel de la Paix !

Deux jours avant Pâques, le chalutier hollandais qui devait livrer les munitions est arraisonné et, plutôt que d’être capturé, se saborde. Casement, capturé par les Anglais, sera pendu pour haute trahison. Informé de ces déconvenues, Thomas Clark, président du «gouvernement provisoire irlandais», maintient le principe de l’insurrection mais la reporte au lendemain de Pâques, à midi (scrupule religieux ? superstition, le 23 avril étant la fête de Saint George, patron de l’Angleterre ?…).

À l’heure dite, les insurgés qui ont été informés du changement de programme occupent plusieurs bâtiments stratégiques au centre de Dublin, dont la Poste, l’Hôtel de ville, le Palais de Justice et des gares.

Ils déploient le drapeau tricolore au-dessus de la Poste et l’un de leurs chefs, le poète Patrick Pearse, lit une proclamation aux badauds :

«Au nom de Dieu et des générations mortes dont elle reçoit la vieille tradition nationale, l’Irlande, par notre voix, appelle ses enfants à son drapeau. Soutenus par nos frères exilés en Amérique, nous déclarons que le droit du peuple irlandais à la propriété de l’Irlande et à la libre détermination de sa destinée est libre et imprescriptible.»

Les insurgés espèrent que les badauds vont se rallier à l’insurrection. Las, ils sont conspués par la foule qui commence à se rassembler devant le bâtiment. Qui plus est, ils s’abstiennent d’occuper le Château, résidence du vice-roi et siège du gouvernement général, bien qu’il n’ait pas de défenseurs. C’est l’échec.

L’armée britannique amène de l’artillerie lourde et bombarde consciencieusement le centre de Dublin. Après cinq jours de résistance, les insurgés capitulent sans conditions. Bilan humain : une soixantaine de morts parmi les insurgés, une centaine parmi les assaillants et plus de deux cents parmi les civils, environ 3.000 arrestations.

 Un Conseil de guerre condamne à mort tous les meneurs (James Connolly, blessé, doit être calé contre une chaise pour être fusillé comme il convient). Un certain Eamon de Valera échappe à l’exécution du fait de sa citoyenneté américaine (il est né d’un père espagnol et d’une mère irlandaise). Il deviendra le premier Président de la République d’Irlande.

Contre toute attente, la férocité de la répression va retourner l’opinion publique en faveur des insurgés et transformer les condamnés en martyrs de la cause irlandaise. Même le gouvernement américain, pressé par sa communauté irlandaise, s’y met et plaide l’indulgence auprès de Londres.

David Lloyd George, Premier ministre en décembre 1916, libère ou amnistie plusieurs chefs de l’insurrection (de Valera, Griffith, Collins…) pour complaire aux Américains. Dans les mois qui suivent, les élections témoignent en Irlande d’un courant de sympathie inattendu en faveur du Sinn Fein, naguère marginal.

La paix revenue, les élections générales sont un triomphe pour le Sinn Fein qui totalise en Irlande 73 députés sur 105. Prônant l’indépendance, ils refusent néanmoins de siéger à Westminster. Le 21 janvier 1919, à Dublin, ils constituent un Parlement national (Dail Eireann en gaélique). Ils lancent en vain un Appel aux Nations en vue de l’indépendance de l’île.

 

 

 
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24/04/2012

Classé dans : PROVERBES, DICTONS, CITATIONS — jcn54 @ 7:25

PROVERBE :  » C’est le ton qui fait la musique. « 

DICTON :  » Quand il pleut le jour de la Saint-Georges, sur cent cerises on en a quatorze. « 

CITATION :  » On ne doit jamais accorder sa confiance à quelqu’un qui ne sourit jamais. « 

( Henry Millon de Montherlant )

 

 
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LUNDI 23 AVRIL 2012

Classé dans : EPHEMERIDE DU JOUR — jcn54 @ 7:17

114è jour de l’année, 252 jours restants, 17è semaine, aujourd’hui on fête les Georges ainsi que les Fortunat, Georgette, Georgine et Youri.

Le soleil se lève à 06h28 et se couche à 20h39.

Lune croissante pleine à 12%.

 

 
 

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