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JEUX ANCIENS 17 mai, 2012
Le jeu du TONNEAU dit « de la Grenouille »
Le jeu du TONNEAU dit « de la Grenouille »
INGRÉDIENTS : (4 Pers.) 500 g d’asperges vertes, 50 g d’amandes effilées, 80 g de parmesan râpé, 3 oeufs, 50 cl de crème liquide, sel, poivre.
Laver les asperges.
Au besoin rafraîchir la coupe du talon.
Les faire pocher à l’eau bouillante salée environ 8 minutes.
Pendant ce temps, faire dorer rapidement les amandes à la poêle sans matière grasse.
Dans un saladier, battre les oeufs en omelette.
Ajouter la crème et le parmesan. Poivrer, saler à peine (le parmesan s’en charge).
Égoutter les asperges puis les rafraîchir en les plongeant dans un bain d’eau très froide (si possible avec des glaçons).
Les égoutter et les sécher dans du papier absorbant.
Les tailler en morceaux de 3 à 4 cm puis les ranger dans un plat à gratin.
Verser l’appareil à clafoutis salé dessus puis enfourner pour 20 à 25 min de cuisson à 180°.
Servir chaud accompagné d’une salade verte bien croquante.
Bon appétit.
Naissance de Montréal, c’est en 1642.
Montréal, métropole de l’actuelle province du Québec, est née le 17 mai 1642 sur une grande île située au confluent du fleuve Saint-Laurent et de la Rivière-des-Prairies.
En 1615, Samuel de Champlain, qui a déjà fondé l’«Abitation de Québec» le 3 juillet 1608, émet l’idée d’un poste sur le fleuve Saint-Laurent en vue de promouvoir la religion catholique parmi les Indiens de la Nouvelle-France… et de développer le commerce de la fourrure.
L’idée est reprise sous le règne de Louis XIII par le baron de Fancamp et Jérôme de la Dauversière, un habitant de La Flèche. Ils songent à une grande île sur le fleuve, à 1500 km à l’intérieur des terres, que l’explorateur Jacques Cartier a repérée un siècle plus tôt, le 2 octobre 1535, et baptisée «Mons realis» (Mont royal en latin). En vue de sa colonisation, ils fondent la «Société de Notre-Dame de Montréal pour la conversion des sauvages de la Nouvelle-France» (le mot sauvage vient du latin salvaticus et désignait à l’époque celui qui habite dans les bois, sans connotation péjorative comme aujourd’hui).
Le 9 mai 1641, deux navires quittent La Rochelle pour la Nouvelle-France (le Québec actuel). La colonie ne compte encore que 400 Français. À bord des navires, une cinquantaine de personnes sous la direction de deux catholiques fervents, le gentilhomme Paul de Chomedey de Maisonneuve et l’infirmière Jeanne Mance.
L’expédition passe l’hiver à Québec et atteint le site de Montréal l’année suivante. Elle débarque près du village huron d’Hochelaga, dont un quartier actuel de Montréal perpétue le nom. L’endroit est aujourd’hui connu sous le nom de «pointe à Callière», et un très beau musée d’archéologie et d’histoire y rappelle l’événement…
Sitôt arrivés, les colons construisent une clôture. La messe de fondation a lieu le lendemain, dimanche 18 mai 1642. Le nouvel établissement est consacré à la Vierge et prend le nom de Ville-Marie (une dizaine d’années plus tard, il ne sera plus connu que sous le nom de Montréal). Il se dote d’un hôtel-dieu (hôpital) à l’initiative de Jeanne Mance.
Mais les débuts sont très pénibles et la ville doit se défendre contre les Iroquois, farouches ennemis des Français depuis leur rencontre malheureuse avec Samuel de Champlain. L’arrivée de nouveaux colons permet de fortifier la colonie. En 1647, par décision du gouvernement français, les armateurs sont contraints d’amener un immigrant pour chaque tonne de fret. En 1653, le gouverneur Maisonneuve ramène de France une centaine de soldats pour mieux protéger sa ville. Celle-ci connaît enfin la sérénité avec la Grande Paix de 1701 conclue avec les Indiens.
Montréal devient bientôt la plaque tournante du commerce des fourrures, «l’or de la Nouvelle-France».
Mais arrive la guerre de Sept Ans… La ville est assiégée par trois armées anglaises et se rend sans combattre le 18 septembre 1760. Comme l’ensemble de la Nouvelle-France, elle passe dès lors à la couronne britannique. Deux siècles après sa naissance, elle compte 45.000 habitants.
Au milieu du XIXe siècle, c’est une cité en pleine expansion, qui tire sa richesse non plus du commerce des fourrures mais de son port fluvial accessible aux navires transatlantiques.
Beaucoup d’immigrants y affluent et le maire de la ville prend acte de cette nouvelle réalité en dotant la ville d’un drapeau qui rappelle la diversité de ses habitants avec la fleur de lys française, la rose anglaise, le chardon écossais et le trèfle irlandais.
PROVERBE : » Qui n’a fait qu’obéir saura mal commander. «
DICTONS : » Mariages en mai, ne fleurissent jamais. «
» S’il tonne au jour de Saint-Pascal, sans grêle, ce n’est pas un mal. «
CITATION : » Une huître avertie en vaut deux. «
( Jean-Pierre Coffe )
138è jour de l’année, 228 jours restants, 20è semaine, aujourd’hui on fête les Pascal Baylon ainsi que les Pascale et Pascaline.
Le soleil se lève à 06h06 et se couche à 21h28.
Lune pleine décroissante à 25%.
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