Jean Claude's news

"Le moment présent a un avantage sur tous les autres : il nous appartient." (Charles Caleb Colton)

 
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FOUR A MICRO-ONDES 11 mars, 2013

Classé dans : INVENTIONS — jcn54 @ 4:37

FOUR A MICRO-ONDES dans INVENTIONS mo-

Pendant la Seconde Guerre Mondiale, l’ingénieur américain Percy Spencer travaille pour l’armée sur la mise au point de radars. En 1945, après avoir testé un nouvel appareil, il remarque qu’une barre de chocolat a quasiment fondu dans sa poche. Il fait rapidement la relation avec le radar et réitère l’expérience avec du pop-corn, puis un œuf. Il met plus de deux ans à concrétiser son idée d’un four fonctionnant aux micro-ondes. Dans un premier temps, son invention n’est utilisée qu’au sein des collectivités, car elle demeure trop encombrante et trop cher pour s’intégrer dans les foyers. Un accord commercial avec une compagnie spécialisée dans les appareils de cuisson, signé en 1952, permet de réduire la taille du four et de rendre son usage domestique plus adapté. Il faudra cependant attendre 1965 pour que son usage se démocratise pleinement.

 

 
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NOYADE

Classé dans : INSOLITE — jcn54 @ 4:37

Une automobiliste a été emportée par un cours d’eau en crue dans les Pyrénées-Orientales.

NOYADE dans INSOLITE noyade

 Cette femme, âgée d’une quarantaine d’années, avait forcé le passage à gué du Réart, bien que celui-ci ait été interdit à la circulation dès mardi soir. Selon des témoignages rapportés aux secours, la voiture s’est immobilisée un peu plus loin et l’automobiliste s’est extraite du véhicule, mais elle a été emportée par les flots. Son corps a été retrouvé un peu plus tard par les pompiers.

 

 
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VELOUTE DE CHAMPIGNONS DE PARIS

Classé dans : CUISINE GOURMANDE — jcn54 @ 4:35

VELOUTE DE CHAMPIGNONS DE PARIS dans CUISINE GOURMANDE veloutecham

INGRÉDIENTS : (4 Pers.) 250 g de champignons de Paris, 50 g de beurre, 1 oignon, 2 cuil. à soupe de farine, 1/4 l de bouillon,  1/2 l de lait, 
1 citron, 2 cuil. à soupe de crème fraîche, 1 cuil. à soupe de persil haché, sel, poivre.

Nettoyez les champignons. Pelez et hachez l’oignon.

Faites fondre dans une grande casserole 25 g de beurre. Ajoutez l’oignon avec les champignons de Paris coupés en morceaux, sauf 5-6 réservés pour le décor. Salez, poivrez. Mélangez bien. Couvrez et laissez cuire à feu doux 15 min environ. 

Ajoutez 2 cuil. à soupe de farine en remuant sans cesse, puis mélangez avec le bouillon et le lait. Laissez cuire à feu doux en remuant souvent. Dès que le mélange commence à frémir, baissez le feu et laissez cuire 15 min.

Laissez refroidir puis, mixez pour obtenir une consistance onctueuse. 5 Ajoutez le jus du citron et la crème fraîche avant de réchauffer quelques minutes. Servez chaud, décoré des petits champignons réservés.

Bon appétit.

 

 
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CA S’EST PASSE UN 11 MARS

Classé dans : JOUR ANNIVERSAIRE — jcn54 @ 4:34

CA S'EST PASSE UN 11 MARS dans JOUR ANNIVERSAIRE jb-

Dernière exécution politique en France, c’est en 1963.

À l’aube du 11 mars 1963, Jean Bastien-Thiry est passé par les armes au fort d’Ivry. Cette exécution politique est la dernière qu’ait connue la France à ce jour.

La victime est un polytechnicien de 35 ans originaire de Lunéville, marié et père de trois fillettes. Scientifique brillant et de stature internationale, il oeuvre à la Cité de l’Air, à Paris, avec le grade de lieutenant-colonel, quand sa conscience est bouleversée par le drame algérien.

Sentiment d’abandon

Le général Charles de Gaulle était revenu au pouvoir grâce au soulèvement de l’armée et des Français d’Algérie, le 13 mai 1958. Ces derniers craignaient à juste titre que le gouvernement de la IVe République ne négocie un retrait des trois départements algériens. Ils placèrent leurs espoirs dans le Général qui leur promit sans ambages de maintenir l’intégrité du territoire.

Mais une fois au pouvoir, Charles de Gaulle prit conscience de l’impossibilité de maintenir le statu quo en Algérie. Il se refusa d’autre part à octroyer aux musulmans d’Algérie tous les droits des citoyens français comme l’eussent souhaité l’ancien gouverneur Jacques Soustelle… ou des militaires comme Jean Bastien-Thiry. Restait l’alternative de l’indépendance. Il fallut près de quatre longues années pour que le président de la République pût convaincre ses partisans que l’indépendance de l’Algérie était inéluctable.

La déconfiture fut totale. Après la signature des accords d’Évian, les Pieds-noirs refluèrent en désordre vers la métropole et les vainqueurs du FLN assassinèrent dans des tortures affreuses plusieurs dizaines de milliers de harkis et autres musulmans francophiles, abandonnés par l’armée française et le gouvernement du général de Gaulle.

En métropole comme en Algérie, des extrémistes français reprirent à leur compte les méthodes du FLN algérien et multiplièrent les attentats aveugles contre les innocents sous l’emblème de l’OAS (Organisation de l’Armée Secrète).

Comme beaucoup de militaires de sa génération, Jean Bastien-Thiry ne comprit pas les revirements du général de Gaulle. Il les interpréta comme autant de trahisons à l’égard de la Nation, des Français d’Algérie et des musulmans fidèles à la France.

Refusant l’inéluctable, il se convainquit que le Général était un obstacle à la restauration de la grandeur de son pays. C’est ainsi que sous l’égide d’un mouvement clandestin, le Conseil National de la Résistance (CNR) de Georges Bidault, il organisa un attentat contre le cortège du Président.

L’attentat

Le 22 août 1962, le général de Gaulle, avec son épouse, se rend de l’Élysée à sa résidence de Colombey-les-deux-Églises. De l’Élysée même, un informateur jamais identifié prévient Bastien-Thiry du choix de l’itinéraire fixé au dernier moment par les services de sécurité parmi les trois possibles.

Au Petit-Clamart, dans la banlieue sud de Paris, la DS présidentielle est mitraillée par les six tireurs du commando de Bastien-Thiry. Les tireurs visent principalement les pneus afin d’arrêter la voiture. Mais les pneus résistent aux balles et le grand talent du chauffeur fait le reste.

L’un des tireurs, Georges Watin, dit «la boîteuse», lâche une rafale à la hauteur des têtes des passagers du véhicule. Les impacts de son fusil-mitrailleur – 8 au total – permettront au procureur général Gerthoffer de requérir pour tentative d’assassinat.

Le président et son épouse, assis à l’arrière du véhicule, sont sans doute sauvés par la réaction de leur gendre Alain de Boissieu qui, assis à l’avant, se retourne vers eux et ose ordonner : «Père, couchez-vous !»

Buisines et Bougrenet de La Tocnaye, constatant que la DS poursuit sa route, tentent de la rejoindre en fourgon. Le fourgon heurte le pare-chocs de la DS. Bougrenet ouvre la portière latérale et tend d’une main le fusil-mitrailleur à l’extérieur. Incident de tir ! La rafale ne part pas.

Les tireurs sont bientôt arrêtés. Jean Bastien-Thiry est arrêté à son retour d’une mission scientifique en Grande-Bretagne. Un tribunal d’exception, la Cour militaire de Justice, juge les prévenus.

Le procureur requiert la mort contre Bastien-Thiry, Bougrenet de La Tocnaye et Buisines. Prévost demande la parole et prie le jury de prendre la place de Buisines, affirmant sa responsabilité supérieure. Le tribunal militaire tient compte de cette précision en condamnant à la peine capitale Prévost au lieu de Buisines.

Prévost avait été en 1954 dans le dernier avion qui avait parachuté des soldats au-dessus de la cuvette de Dien Bien Phu. Prévost et les autres hommes de ce vol s’étaient portés volontaires pour rejoindre leurs camarades bien qu’ils fussent convaincus qu’ils ne sortiraient jamais vivants de cet enfer !

Le recours en cassation n’est pas permis aux condamnés. Leur vie repose entre les mains du chef de l’État. L’opinion publique est convaincue qu’il usera de son droit de grâce pour un attentat qui n’a pas entraîné mort d’homme. Le général de Gaulle grâcie effectivement les tireurs mais non leur chef. Jean Bastien-Thiry est fusillé huit jours à peine après le jugement.

Prévost poursuivra une vie d’errance à travers le monde, inguérissable de n’avoir pas accompagné son chef dans la mort. Watin mourra de maladie quelques années plus tard en Amérique latine. Bertin, le plus jeune, fera une très belle carrière dans la banque. Des trois tireurs hongrois, ne survit plus que Lajos Marton, qui fut en 1956 un jeune officier aux côtés de Pal Maleter, le chef de l’insurrection anti-communiste. Buisines a été renversé par un véhicule en plein Paris.

Charles de Gaulle exploita l’émotion causée par l’attentat du Petit-Clamart pour proposer l’élection du président de la République au suffrage universel, par l’ensemble du peuple français, et non plus par une assemblée de notables.

Le projet se heurta à une très forte opposition du Sénat et de la gauche qui craignaient la naissance d’un régime bonapartiste autoritaire. Il fut néanmoins approuvé par référendum le 28 octobre 1962 avec 62,25% de Oui. -

 

 

 
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11/03/2013

Classé dans : PROVERBES, DICTONS, CITATIONS — jcn54 @ 4:27

PROVERBE :  » Il faut avoir beaucoup étudié pour savoir peu. « 

DICTON :  » Bon redoux à Sainte-Euloge, voit les jeunes lapins à l’auge. « 

CITATION ;  » Jamais tu ne feras qu’un crabe marche droit. « 

( Aristophane )

 

 

 
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LUNDI 11 MARS 2013

Classé dans : EPHEMERIDE DU JOUR — jcn54 @ 4:24

70è jour de l’année, 295 jours restants, 11è semaine, aujourd’hui on fête les Rosine ainsi que les Rosana.

Prénom fêté autrefois : Euloge.

Le soleil se lève à 07h12 et se couche à 18h49.

Nouvelle lune.

 

 
 

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