- Accueil
- > Archives pour le Lundi 18 mars 2013
MATT POKORA CHEZ LES ENFOIRES 2013 18 mars, 2013
Je suis fan des Enfoirés, pour rien au mode je raterais leur spectacle ! En voici un petit avant-goût…
Je suis fan des Enfoirés, pour rien au mode je raterais leur spectacle ! En voici un petit avant-goût…
Après des travaux de titan, le pont Runyang, au-dessus du fleuve Yantzé, est entré en service en avril 2005. Avec ses 35 km, il est le 4e pont suspendu le plus long du monde. Il se compose de deux ponts distincts dont les tours culminent à 215 et 150 m et est emprunté par l’autoroute à 6 voies Pékin-Shanghai.
INGRÉDIENTS ; (4 Pers.) 600 g de pommes de terre à chair ferme, 1 oignon, 8 œufs, 30 g de beurre, 2 cuil. à soupe d’huile d’olive, sel, poivre.
Épluchez les pommes de terre. Coupez-les en fines rondelles, lavez-les et épongez-les soigneusement. Pelez et émincez l’oignon.
Chauffez beurre et huile dans une grande poêle antiadhésive. Faites-y saisir les pommes de terre à feu vif, puis baissez le feu pour éviter qu’elles colorent trop. Salez, poivrez, ajoutez l’oignon et cuisez jusqu’à ce qu’elles soient tendres.
Pendant ce temps, battez les œufs en omelette, salez, poivrez. Retirez les pommes de terre de la poêle et mélangez-les à l’omelette. Ajoutez 1 cuil. d’huile dans la poêle, versez-y le mélange, laissez cuire à feu moyen 7 min.
Posez un plat à l’envers sur la poêle, maintenez-le fermement et retournez l’ensemble. Faites glisser l’omelette dans la poêle, dorez l’autre face 5 min. Laissez-la bien refroidir avant de la découper. Conservez-la au frais.
Bon appétit.
L’Indien Bose attaque les Indes britanniques, c’est en 1944.
Bien que méconnu en Occident, Subhas Chandra Bose est entré dans l’histoire indienne comme «l’ennemi le plus déterminé des Britanniques». En refusant de combattre aux côtés du Royaume-Uni pendant la Seconde Guerre mondiale, il a fait un choix radicalement différent de ceux de Gandhi et Nehru. Allant jusqu’au bout de sa logique, il a mis sur pied une armée nationale indienne (Indian National Army, INA) avec laquelle il a attaqué les Indes britanniques, le 18 mars 1944, en appui des troupes japonaises.
Une fuite romanesque
Né en 1897, Bose est originaire de l’Orissa, à l’est de l’Inde, et grandit au Bengale. Son engagement politique et son rejet de la colonisation britannique l’amènent à rejoindre le Parti du Congrès, dont il prend la présidence en 1938-1939. Néanmoins, il représente l’aile la plus à gauche du Congrès. Il s’oppose à Gandhi sur les méthodes à utiliser pour faire pression sur les Britanniques, dédaignant sa philosophie non-violente.
En 1939, il forme son propre parti, le Forward Bloc, qui se distingue par ses positions violemment antibritanniques au moment où la guerre éclate. Des positions qui lui valent d’être jeté – pour la 11e fois !- dans les geôles britanniques, en 1940.
Bose parvient à se faire libérer à la suite d’une grève de la faim, mais les Britanniques comptent bien l’arrêter à nouveau dès qu’il aura repris des forces. Cependant, le leader nationaliste réussit à quitter sa maison de Calcutta, à la faveur de la nuit et à la barbe des Britanniques, déguisé en agent d’assurance musulman. Il se rend en train à Peshawar, puis traverse à pied les territoires tribaux du nord-ouest du Pakistan actuel, en se faisant passer pour un sourd-muet. Il arrive ainsi à quitter le British Raj (les Indes britanniques) et à atteindre Kaboul. De là, il rejoint l’Allemagne nazie, via l’URSS, encore liée à Berlin par le pacte de non-agression.
Tout soutien est bon à prendre
Cet homme aux idées socialistes voit dans les puissances de l’Axe des alliés précieux pour la conquête de l’indépendance indienne. Le ministre allemand des Affaires étrangères Ribbentrop lui laisse entendre qu’il peut compter sur l’aide de son pays. Toutefois, Hitler n’apporte qu’un soutien très tiède à l’idée de l’indépendance d’Indiens qui prétendent eux aussi descendre de la race aryenne !
Le premier projet de Bose consiste à attaquer le Raj par le nord-ouest. Mais la rupture du pacte germano-soviétique rend cette option impossible. À partir du début de 1942, l’avancée japonaise en Asie du sud-est lui permet de construire une nouvelle stratégie. Environ 3 millions de civils indiens et de nombreux soldats indiens, capturés à Singapour et en Malaisie, tombent sous le contrôle des Japonais. Bose imagine d’enrôler ces Indiens dans une «armée de libération» qui entrerait aux Indes par l’est.
En février 1943, il prend le bateau à Kiel pour rejoindre l’Asie. En plein océan indien, il est transféré d’un navire allemand à un sous-marin japonais. En mai 1943, le voilà à Tokyo. Il se met alors au service des Japonais, en échange de leur soutien à l’indépendance de l’Inde. Les Japonais accueillent à bras ouverts cet Indien dont la vision est compatible avec le projet nippon de création d’une «grande aire de co-prospérité asiatique».
Quelques mois plus tard, en octobre 1943, Bose proclame un gouvernement indien provisoire et crée l’Indian National Army (INA). Il convainc environ 1/3 des hommes de l’Indian Army prisonniers des Japonais de rejoindre cette «armée de libération», ainsi que des Indiens travaillant dans les plantations d’Asie du sud-est.
À partir de mars 1944, à la tête de son armée, il combat les Britanniques aux côtés des Japonais dans la province indienne de l’Assam. En fait de Britanniques, ce sont surtout d’autres soldats indiens, restés loyal à l’Indian Army, que l’INA doit affronter. Cette opération militaire se transforme en quelques semaines en un fiasco complet. Pourtant, en Inde, une partie de l’opinion s’enthousiasme pour l’héroïsme de cette armée indienne combattant les Britanniques.
Parallèlement, la situation tourne à l’aigre pour les Japonais, repoussés dans le Pacifique par les Américains et en Birmanie par les Britanniques.
Une mémoire ambiguë
En août 1945, quelques jours avant la reddition du Japon, Bose fuit l’Asie du sud-est. Il meurt dans un mystérieux accident d’avion au dessus de Taïwan. Après l’échec de l’INA, les Britanniques voulurent juger et condamner certains de ses officiers. Des manifestations qui tournèrent à l’émeute, notamment à Calcutta, les en empêchèrent.
Tandis que certains historiens le soupçonnent de sympathies fascistes, Subhas Chandra Bose reste aujourd’hui extrêmement populaire en Inde, et surtout au Bengale. Son nom a même été donné à l’aéroport international de Calcutta.
Dans un sondage portant sur les «60 plus grands Indiens» de l’histoire, organisé par l’hebdomadaire India Today en 2008, Bose arrivait en deuxième position, loin devant le mahatma Gandhi. Les Indiens se souviennent d’ailleurs de lui sous le surnom de «Netaji», le «chef respecté».
PROVERBE : » Un bon tiens vaut mieux que deux tu l’auras. «
DICTON : » Quand mars se déguise en été, avril prend ses habits fourrés. «
CITATION : » Aimons les nouveautés, en novateurs prudents. «
( Casimir Delavigne )
77è jour de l’année, 288 jours restants, 12è semaine, aujourd’hui on fête les Cyrille ainsi que les Salvatore.
Le soleil se lève à 06h57 et se couche à 19h00.
Lune croissante pleine à 43%.
www.tofik.com |
MANGA |
agbar |
Unblog.fr |
Annuaire |
Signaler un abus
| Toutitest
| randoactu2010
| Le Blog Du Snake