VERDURE 27 avril, 2013

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MARRANT !

Classé dans : Non classé — jcn54 @ 20:05

 

MAISON « KERTERRE »

Classé dans : DROLES DE MAISONS ! — jcn54 @ 20:00

Cet habitat constitué uniquement d’herbes et d’argile est unique au monde et fait 15 m2.

 

TARTELETTES A LA ROSE

Classé dans : CUISINE GOURMANDE — jcn54 @ 19:58

INGRÉDIENTS : (4 Pers.) 230 g de farine tamisée, 150 g de riz à grains ronds, 1 œuf + 1 jaune, 140 g de beurre, 4 cuil. à soupe de crème  fraîche, 1 sachet de sucre vanillé, 200 g de sucre en poudre, ½ citron vert, 3 cuil. à soupe d’eau de rose, 2 pincées de sel.

Mélangez la farine du bout des doigts avec 100 g de beurre. Faites un puits et ajoutez le jaune d’œuf, 3 cuil. à soupe d’eau, le sucre vanillé et le sel. Mélangez bien. Roulez la pâte en boule et réservez 30 min au frais.

Étalez la pâte et tapissez 4 moules à tartelettes beurrés. Piquez le fond à la fourchette et réservez 30 min au frais. Préchauffez le four th. 7 (210 °C).

Rincez le citron, prélevez le zeste et coupez-le en filaments. Dans une casserole, versez 100 g de sucre, 7 cl d’eau et 1 cuil. à café de jus de citron. Portez à ébullition, ajoutez les zestes et laissez-les confire 10 min sur feu doux.

Faites cuire le riz rincé dans 75 cl d’eau bouillante jusqu’à absorption presque complète du liquide. Incorporez les zestes égouttez et 100 g de sucre. Mélangez et réservez.

Quand le riz est tiède, ajoutez l’œuf battu, l’eau de rose et la crème. Versez dans les moules. Parsemez de 30 g de beurre en copeaux. Enfournez 40 min. Servez tiède.

Bonne dégustation.

 

CA S’EST PASSE UN 28 AVRIL

Classé dans : JOUR ANNIVERSAIRE — jcn54 @ 19:56

 Churchill réévalue la livre sterling, c’est en 1925.

Le mardi 28 avril 1925, le chancelier de l’Échiquier Winston Churchill annonce le retour à la convertibilité or de la livre sterling. Celle-ci avait été suspendue en 1919, le pays, meurtri par la Grande Guerre, n’ayant plus les moyens de tenir son rang.

Affaire d’honneur national

Churchill s’est acquis un certain prestige pendant la Grande Guerre en qualité de Lord de l’Amirauté, mais a connu ensuite une longue «traversée du désert».

Il est revenu au gouvernement après avoir délaissé les libéraux (whigs) et renoué avec les conservateurs de sa jeunesse (tories).

Mais à la fois méfiant et habile, le Premier ministre conservateur Stanley Baldwin a voulu le neutraliser en lui confiant la fonction de chancelier de l’Échiquier (ministre des Finances), une fonction pas vraiment dans sa nature…

C’est ainsi que, se laissant manoeuvrer par les financiers de la City et les experts, Churchill annonce le retour à la convertibilité or de la livre sterling. Profitant d’un moment d’euphorie boursière qui a vu le cours de la livre remonter de 4,43 à 4,81 dollars, il décrète que son cours sera désormais celui d’avant-guerre, soit 4,86 dollars. Il en fait une question de fierté nationale !

L’illustre économiste John M. Keynes dénonce cette mesure dans un opuscule : Les conséquences économiques de M. Churchill (1925) en faisant valoir son inanité au vu des pouvoirs d’achat et des prix de détail comparés en Grande-Bretagne et aux États-Unis.

La monnaie britannique se retrouve d’un coup fortement surévaluée. Les financiers, qui s’inquiétaient de la fuite des capitaux, en sont ravis. Mais les produits industriels fabriqués en Grande-Bretagne voient leur prix sensiblement augmenter et le déficit commercial du pays explose.

Il s’ensuit une crise économique et une douloureuse grève générale après que l’on eut décidé de diminuer les salaires des mineurs pour restaurer la compétitivité du charbon national. Les capitaux se réfugient à qui mieux mieux aux États-Unis, à Wall Street, où ils nourrissent la spéculation et contribuent au krach de 1929.

Notons pour l’anecdote que la grève de mai 1926 a pour effet de priver Winston Churchill de son chauffeur et de sa voiture de fonction, ce qui oblige le ministre à prendre le métro, pour la première et la dernière fois de sa vie ! Son biographe François Kersaudy raconte que le malheureux aurait alors trouvé moyen de se perdre dans le dédale des couloirs.

 

 

28/04/2013

Classé dans : PROVERBES, DICTONS, CITATIONS — jcn54 @ 19:54

PROVERBE :  » Quand les brebis enragent, elles sont pires que les loups. « 

DICTON :  » À la Sainte-Valérie, souvent le soleil luit. « 

CITATION :  » Je n’ai plus d’ennemis quand ils sont malheureux. « 

( Victor Hugo )

 

DIMANCHE 28 AVRIL 2013

Classé dans : EPHEMERIDE DU JOUR — jcn54 @ 19:52

118è jour de l’année, 247 jours restants, 17è semaine, aujourd’hui on fête les Valérie ainsi que les Louis-Marie Grignion de Montfort.

Le soleil se lève à 06h20 et se couche à 20h46.

Lune décroissante pleine à 82%.