Jean Claude's news

"Le moment présent a un avantage sur tous les autres : il nous appartient." (Charles Caleb Colton)

 
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LE PONT DE L’ECHELETTE EN ARDECHE 20 mai, 2013

Classé dans : RENCONTRES AU HASARD DE NOS BALADES — jcn54 @ 3:34

Reconstruit en 1892, ce pont moyenâgeux enjambe le Lignon. Descendant des monts du Tanargue, le Lignon se jette dans l’Ardèche un peu avant Neyrac les Bains. Mais auparavant, il entaille en profondeur une magnifique coulée de lave.Sur la commune de Fabras, dominant l’Ardèche, on s’arrêtera au tout nouveau Belvédère des Coulées Basaltiques qui permet de dominer l’Ardéche et le splendide pont de pierre de l’Echelette. Le site, parfaitement aménagé par les Jeunes Volcans d’Ardèche, offre un panorama sur la rivière et sur les coulées qui semblent plonger dans ses eaux tumultueuses. Un escalier permet de rejoindre le pont et la rivière, tandis qu’une table d’interprétation donne des explications sur la présence de ce phénomène volcanique.

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SPORT A RISQUES (6)

Classé dans : SPORTS — jcn54 @ 3:33

SPORT A RISQUES (6) dans SPORTS ris6

Des agriculteurs se font la course sur des buffles, lors de la 139e course de buffles de Chonburi, en Thaïlande. La course annuelle prend place avant la pleine lune du 11e mois lunaire, qui marque la fin du carême bouddhique.

 

 
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BLANCS-BECS

Classé dans : INSOLITE — jcn54 @ 3:31

BLANCS-BECS dans INSOLITE blancs

Sous le regard de bronze des statues des combattants du mémorial de la Seconde Guerre mondiale de Kiev, ces cadets de l’Académie militaire ukrainienne lissent une dernière fois leurs impeccables uniformes blancs devant l’objectif du photographe. Dans quelques instants, ils défileront dans les rues de la ville, capitale d’un pays qui, malgré son indépendance depuis 1991, continue à célébrer l’anniversaire de la victoire contre l’Allemagne nazie le 9 mai, comme la Russie. Particulièrement éprouvée par les combats et les massacres, l’Ukraine est l’un des pays qui ont le plus souffert de la Grande Guerre Patriotique. En 1945, les pertes ukrainiennes ont été estimées à 8 millions de personnes, dont 1,377 million de militaires.

 

 
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REMOULADE D’ENDIVES AU CRABE

Classé dans : CUISINE GOURMANDE — jcn54 @ 3:30

REMOULADE D'ENDIVES AU CRABE dans CUISINE GOURMANDE remoulade

INGRÉDIENTS : (4 Pers.) 6 endives rouges, 1 échalote, 1/2 botte de ciboulette, 2 cuil. à soupe de jus d’orange, 4 cuil. à soupe de mayonnaise, Tabasco.

Essuyez les endives. Retirez les premières feuilles extérieures puis émincez-les finement. 

Égouttez la chair de crabe. Effilochez la chair en éliminant les cartilages. Pelez et hachez finement l’échalote. 

Mélangez la mayonnaise dans un bol avec le jus d’orange et le Tabasco. Ajoutez l’échalote et la moitié de la ciboulette ciselée. Ajoutez la chair de crabe et les endives dans cette sauce.

Répartissez dans des verrines. Servez bien frais décoré du reste de ciboulette.

Bon appétit.

 

 
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CA S’EST PASSE UN 20 MAI

Classé dans : JOUR ANNIVERSAIRE — jcn54 @ 3:29

CA S'EST PASSE UN 20 MAI dans JOUR ANNIVERSAIRE bonaparte1

 Bonaparte légalise l’esclavage, c’est en 1802.

Par un décret du 30 Floréal An X (20 mai 1802), Napoléon Bonaparte légalise l’esclavage.

En fait, dans le souci de stabiliser les colonies françaises, le Premier Consul n’a voulu, si l’on peut dire, que maintenir l’esclavage là où il subsistait encore…
Une première abolition très limitée

L’esclavage a été en théorie aboli huit ans plus tôt par le décret de Pluviôse. En réalité, cette mesure sans précédent votée par les députés de la Convention n’a pris effet qu’en Guadeloupe et à Saint-Domingue (aujourd’hui Haïti).

– La Martinique, occupée par les Anglais, n’en a pas profité et les planteurs ont pu conserver leurs esclaves grâce à la bienveillance des occupants.

– Dans l’océan Indien, les colons de l’île de la Réunion et de l’île de France (aujourd’hui l’île Maurice) ont réussi à s’opposer à l’application du décret.

– Quant à la grande île de Saint-Domingue, elle a attendu le départ des Anglais, chassés par Toussaint Louverture en octobre 1798, pour appliquer le décret et abolir l’esclavage. Encore les anciens esclaves n’ont-ils troqué leur statut que pour celui de travailleurs forcés…

Le Premier Consul, pragmatique, aurait sans doute souhaité s’en tenir au statu quo. Mais il est pris de court par la restitution à la France de l’île esclavagiste de la Martinique à la paix d’Amiens (25 mars 1802) et plus encore par les velléités indépendantistes de Saint-Domingue.
Les colonies en ébullition

À Saint-Domingue, Toussaint Louverture ne veut pas en rester à sa victoire sur les Anglais.

Le 8 juillet 1801, le leader noir chasse les Espagnols de la partie orientale de l’île et se nomme Gouverneur général à vie de l’île réunifiée.

Il mène une politique indépendante et signe des contrats de commerce avec les États-Unis et la Grande-Bretagne.

C’est plus que n’en peut supporter Napoléon Bonaparte. Dès 1799, celui-ci caresse le désir de reconstituer un empire colonial aux Amériques «conformément aux lois et règlements antérieurs à 1789».

Profitant du répit offert par la paix signée à Lunéville avec l’Autriche, il décide de rétablir à Haïti la souveraineté française.

Le 14 décembre 1801, une flotte de 36 navires appareille de Brest avec 23.000 hommes sous le commandement du général Leclerc pour reprendre Saint-Domingue. L’expédition est plus importante que celle que Bonaparte conduisit en Égypte trois ans plus tôt… Son échec sera encore plus dramatique !

Le 2 mai 1802, une autre flotte de 11 navires débarque 3500 hommes en Guadeloupe sous le commandement du général Antoine Richepance. Elle a pour mission de restaurer l’ordre dans l’île où un conseil animé par des officiers de couleur a pris le pouvoir.
Un décret mal inspiré

Dans ce contexte, le Premier Consul est encouragé à abolir le décret de Pluviôse par Cambacérès, avocat des planteurs, et sa propre femme, Joséphine de Beauharnais, issue d’une riche famille créole de la Martinique, les Tascher de la Pagerie ; l’un et l’autre mettent en avant les difficultés des milieux d’affaires coloniaux depuis l’abolition de 1794.

Il signe enfin le décret par lequel il légalise à nouveau l’esclavage dans les colonies où il perdure.

L’esclavage revient à priver les hommes de couleur de leur citoyenneté et les travailleurs des plantations de leur salaire ; les maîtres ont le droit de punir leurs esclaves sans passer par la justice civile.
Le décret du 30 floréal An X (20 mai 1802)

AU NOM DU PEUPLE FRANÇAIS, BONAPARTE, premier Consul, PROCLAME loi de la République le décret suivant, rendu par le Corps législatif le 30 floréal an X, conformément à la proposition faite par le Gouvernement le 27 dudit mois, communiquée au Tribunat le même jour.

DÉCRET.
ART. Ier Dans les colonies restituées à la France en exécution du traité d’Amiens, du 6 germinal an X, l’esclavage sera maintenu conformément aux lois et réglemens antérieurs à 1789.
II. Il en sera de même dans les autres colonies françaises au-delà du Cap de Bonne-Espérance.
III. La traite des noirs et leur importation dans lesdites colonies, auront lieu, conformément aux lois et réglemens existans avant ladite époque de 1789.
IV. Nonobstant toutes lois antérieures, le régime des colonies est soumis, pendant dix ans, aux réglemens qui seront faits par le Gouvernement.

Par-delà son caractère immoral, le décret du 30 floréal va avoir pour la France un résultat désastreux en poussant à la révolte les anciens esclaves de Saint-Domingue et en précipitant la perte de l’île.

Mais le Premier Consul ne s’en tient pas à la légalisation de l’esclavage. Animé par un sentiment «raciste» qui le distingue de la plupart de ses contemporains, encore pétris de l’esprit des Lumières, il prend plusieurs mesures qui renouent avec le préjugé de couleur des décennies précédentes et l’aggravent nettement…
Naissance du préjugé de couleur

Jusqu’au milieu du XVIIIe siècle, les souverains européens toléraient l’esclavage aux colonies mais n’assimilaient pas les esclaves aux Noirs. Ils ne tenaient pas ceux-ci pour une race inférieure vouée à l’esclavage comme l’atteste la présence d’un certain nombre d’Africains dotés de fonctions élevées à la cour de Versailles et dans d’autres cours européennes, y compris Saint-Pétersbourg, avec l’aïeul africain du poète Pouchkine.

Au milieu du siècle, deux mentalités se développent et s’opposent, parfois au sein des mêmes personnes :

– L’une est inspirée par la raison et l’humanité, en conformité avec l’«esprit des Lumières» et la doctrine chrétienne. Elle porte les élites pensantes à dénoncer l’esclavage et les préjugés à l’égard des autres races. Elle est illustrée par les fort beaux textes de Voltaire et Montesquieu sur ce thème et mieux encore par la mobilisation contre la traite de Wilberforce en Angleterre et Grégoire en France.

– L’autre est née du fantasme d’invasion lié à l’arrivée d’Africains de plus en plus nombreux dans les colonies mais aussi en métropole, comme serviteurs ou enfants des colons de passage (à l’exemple d’Alexandre Dumas père) ou «petits nègres» offerts aux dames de la bonne société (image ci-contre).

On commence à se prémunir contre cette menace en érigeant des barrières réglementaires, intellectuelles et morales. C’est la naissance du «préjugé de couleur».

Voltaire, qui n’en est pas à une contradiction près, formule quelques sentences formellement «racistes» au sens moderne du mot, c’est-à-dire établissant une hiérarchie entre ce qu’il est convenu d’appeler les «races» humaines. Quant à Montesquieu, s’il est à l’abri de semblables inepties, il ne rechigne pas plus que Voltaire à investir dans le commerce triangulaire.

Plusieurs ordonnances, sous le règne de Louis XVI, dénoncent les unions mixtes et légifèrent contre l’immigration noire en métropole, en fait limitée à quelques centaines d’individus, au motif que «terre de France ne porte pas esclave». Le 9 août 1777 est créé un système de «dépôt» dans les ports pour les esclaves qui accompagnent leur maître.

Après la Révolution, le Premier Consul reprend cette tradition tardive. «Je suis pour les blancs, parce que je suis blanc. Je n’ai pas d’autre raison, et celle-la est la bonne,» aurait-il déclaré au Conseil d’État en 1802. Il exclut de l’armée des officiers «de couleur», parmi lesquels le père d’Alexandre Dumas.

Bonaparte supprime aussi d’un trait de plume l’Institution nationale des Colonies, créée 5 ans plus tôt à l’instigation de l’abbé Grégoire pour promouvoir les enfants des colonies quelle que soit leur couleur de peau. Les 22 élèves noirs de l’institution, qui étaient appelés à devenir officiers, sont affectés comme simples tambours dans autant de régiments.

 

 

 
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20/05/2013

Classé dans : PROVERBES, DICTONS, CITATIONS — jcn54 @ 3:23

PROVERBE :  » Les hommes sont les roturiers du mensonge, les femmes en sont l’aristocratie. « 

DICTON :  » S’il pleut à la Saint-Bernardin, tu peux dire adieu à ton vin. « 

CITATION :  » Tout ce qui n’est pas passion est sur un fond d’ennui. « 

( Henry Millon de Montherlant )

 

 

 
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LUNDI 20 MAI 2013

Classé dans : EPHEMERIDE DU JOUR — jcn54 @ 3:19

140è jour de l’année, 225 jours restants, 21è semaine, aujourd’hui on fête les Bernardin.

Le soleil se lève à 05h47 et se couche à 21h16.

Lune croissante pleine à 68%.

 

 
 

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