NOTRE-DAME DERRIERE LES VERROUS 6 juillet, 2014
Les cadenas d’amour commencent à peser lourd dans le cœur de Paris. Estimés à 700.000, ces antivols sont le symbole des amoureux prompts à déclarer leur flamme, à sceller leur union. Sauf que la capitale mondiale du romantisme en paie le prix lourd. Après le pont des Arts, le pont de l’Archevêché qui relie la rive gauche à la cathédrale Notre-Dame est aussi à saturation. La coutume commence à poser de sérieux problèmes de sécurité. Dimanche 8 juin, à l’heure où badinent les badauds, une grille du pont des Arts s’est effondrée. Leur prolifération sur les parapets représente une charge de 300 kg par mètre. Sans oublier l’aspect inesthétique depuis que la ville ploie sous le nombre. Reste la solution d’un riverain: l’usage systématique de pinces-monseigneur.
Bonjour Jean Claude, comme je disais sur un autre blog, je ne comprends pas cette folie qui rime à rien et qui abime nos monuments
a t-on besoin d’un cadenas pour prouver son amour éternel? et derrière tous ces cadenas, combien de couples ont cassé?
Oups désolée c’était mon coup de gueule du dimanche:)
gros bisous et bonne journée, attention aux orages
C’est affreux !!!
Vraiment de la folie … amoureuse…
Bon WE à toi
bizzzzzzzzzzz
Tân
Dernière publication sur chroniques variées : la nouvelle arche de Noé
Mais c’est vraiment affreux, je n’en reviens pas
Bisous
http://paloma-kitchen.blogspot.fr/