Jean Claude's news

"Le moment présent a un avantage sur tous les autres : il nous appartient." (Charles Caleb Colton)

 

MATTHIAS GRUNEWALD 1 février, 2013

Classé dans : ART — jcn54 @ 8:43

Matthias Grünewald est un peintre allemand né vers 1475–1480 à Wurtzbourg, en Bavière et mort en 1528 à Halle, en Saxe-Anhalt.

L’identité de Matthias Grünewald reste incertaine. Ce nom lui fut donné, de manière assez arbitraire, par Joachim von Sandrart.

 Au XXIe siècle, les experts attribuent avec certitude à Matthias Grünewald dix oeuvres dont plusieurs polyptyques et 35 dessins. Sa première toile incontestée est le Christ outragé, datant de 1503.

 Son oeuvre la plus célèbre est le Retable d’Issenheim.

 L’oeuvre de Grünewald, exclusivement religieuse appartient à l’époque de transition entre le gothique tardif et la Renaissance.

MATTHIAS GRUNEWALD dans ART cruxificion

(Crucifixion de Bâle)

incarnation dans ART

                                 (Incarnation du fils de Dieu)

portrait1

(Portrait d’Albrecht de Brandenbourg)

 

 

ALDEHY 13 janvier, 2013

Classé dans : ART — jcn54 @ 8:32

Né le 30 janvier 1956 à Châtellerault-France.

Avant tout figuratif, Aldéhy est un apôtre de la lumière qui nous gratifie d’un clin d’œil à Philippe de Champaigne.
 Les thèmes sont nombreux et éclectiques, cependant, cette apparente diversité demeure complémentaire.
 Le dessin est bien construit et visiblement rien n’est laissé au hasard. Nous découvrons une exceptionnelle série de portraits : « les cathédrales de lumières »-quatorze instants de la journée d’un enfant, avec une acuité particulière, l’artiste saisit le moment éphémère de la vie.
 Avec une technique affirmée, l’artiste nous délivre un éclairage artificiel, parfois violent qui arrête les mouvements, l’intimité est captée dans toute son intensité, traduisant une émotion ou un sourire.
 En plongeant une partie du tableau dans l’opposition clair-obscur Aldéhy sait valoriser l’expression. Maître es-lumière d’une peinture rayonnante, par la délicatesse de la touche, les jeux subtils et les reflets, l’artiste révèle l’illusion dans l’espace prospectif.
 De ses rencontres avec les motifs favoris, le peintre nous offre autant d’images marquées au sceau d’un réalisme certes poétisé, mais perçu à travers un regard objectif.
 Si l’enthousiasme n’apparaît pas toujours dans les compositions, c’est qu’à l’émotion première succède la réflexion à long terme, une interrogation sur le sujet, dont il entend restituer la vérité au point de s’attarder à cerner d’une touche millimétrée les contours d’un visage familier.
 Un dessin précis épaule avec autorité la force narrative. Avec une palette étendue et une application rigoureuse rien n’échappe à la finesse d’observation. Le plus souvent l’artiste utilise l’acrylique, mais parfois fait appel à l’huile et au crayon… Singulièrement, l’artiste ne se laisse pas enfermer dans un unique modèle d’expression, pour s’en convaincre il suffit de revenir aux travaux abstraits des années 80.
 Privilégiant ses émotions aux effets de modes, Aldéhy reste avant tout un homme libre… Peinture rayonnante, teintée d’humour et de tendresse elle retentit aux accents d’une sensibilité contenue.

ALDEHY dans ART avuedhomme

(A Vue d’Homme)

laflammebleue dans ART

(La Flamme bleue)

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(Le Plein d’étoiles)

 

 

 

ANDY WARHOL 9 janvier, 2013

Classé dans : ART — jcn54 @ 8:13

Andy Warhol, de son vrai nom Andrew Warhola, est un artiste américain né le 6 août 1928 à Pittsburgh en Pennsylvanie et décédé à New York, le 22 février 1987.
 Un pionner du mouvement Pop Art.

De 1945 à 1949, Andy Warhol fait ses études au Carnegie Institute of Technology où il obtient le titre de Bachelor of Fine Arts. C’est au cours de ces études qu’il adopte la technique du dessin tamponné.

 A la fin de ses étude, Warhol s’installe à New-York et travaille comme dessinateur publicitaire pour Vogue et Harper’s Bazaar.

 En 1952 a lieu sa première exposition à la Hugo Gallery de New-York puis deux ans après il expose à la Loft Gallery de New York.

 En 1960, Warhol réalise ses premiers tableaux inspirés des comics.

 En 1964 a lieu la première exposition exclusive en Europe.

 En 1972, Warhol fait un retour à la peinture avec des portraits sérigraphiés, comme ceux de Mao Zedong.

 Entre 1982 et 1986, Warhol réalise ses dernières séries de tableaux reprenant des oeuvres très célèbres, comme Naissance de Vénus de Boticelli, ou la Cène de Vinci.

ANDY WARHOL dans ART mao

(Mao)

pistolet dans ART

(Pistolet)

ingrid

(Ingrid Bergman)

 

 

HONORE DAUMIER 27 novembre, 2012

Classé dans : ART — jcn54 @ 8:59

Honoré Daumier est un peintre, sculpteur, caricaturiste et lithographe français, né le 26 février 1808 à Marseille et mort le 10 février 1879 à Valmondois.

En 1828, Daumier réalise ses premières lithographies pour le journal La Silhouette.

 En 1830, il dessine ses premières caricatures pour La Caricature.

 En 1832, débute sa longue collaboration avec le journal Le Charivari.

 A partir 1845, il participe à l’illustration des romans d’Honoré de Balzac, notamment Le Père Goriot.

 En 1865, suite à des graves problèmes financiers, il s’installe à Valmondois dans le Val-d’Oise, dans une maison que son ami Corot lui prête où il décèdera en 1879. Un an plus tard, son corp est exhumé du cimetière de Valmondois pour être transféré à Paris au cimetière du Père-Lachaise à Paris.

HONORE DAUMIER dans ART crispin

( Crispin et Scapin )

ecce dans ART

( Ecce Home )

wagon

( Le wagon de troisième classe )

 

 

ALBRECHT DURER 22 novembre, 2012

Classé dans : ART — jcn54 @ 8:42

Albrecht Dürer est un peintre allemand, né le 21 mai 1471 et mort en 1528 à Nuremberg.

Albrecht Dürer est un peintre, graveur et mathématicien allemand. Troisième enfant d’Albrecht Dürer l’Ancien.

 En 1486 il devient l’apprenti de Michaël Wolgemut où il découvre la peinture à la gouache, à l’aquarelle et à l’huile. Il s’initie à la gravure sur bois.

 En 1491, il entreprend un voyage à Colmar pour rendre visite à Martin Schongauer, graveur réputé, mais celui-ci décède avant qu’Albrecht Dürer arrive.

 En 1512, il devient le peintre de la Cour de l’Empereur Maximilien de Habsbourg dont il fit le portrait.

 A la mort de l’Empereur, il entre au service de Charles Quint.

ALBRECHT DURER dans ART sainteanne

( Sainte-Anne, la Vierge et l’enfant )

paysage1 dans ART

( Paysage des environs de Nuremberg )

mere

( Portrait de la mère de l’artiste )

 

 

MERISI DE CARAVAGGIO 19 novembre, 2012

Classé dans : ART — jcn54 @ 7:54

Michelangelo Merisi da Caravaggio, dit Le Caravage, est un peintre italien né le 29 septembre 1571 à Milan et mort le 18 juillet 1610 à Porto Ercole.

La Caravage tire son nom d’artiste de la petite ville lombarde Caravaggio ,province de Bergame, où il grandit.

 En 1584, il entre comme apprenti à l’atelier du peintre Simone Peterzano à Milan alors qu’il n’a que treize ans.

 Bref retour en 1589 à Caraviggio puis il part pour Rome en 1592 où il entre dans l’atelier Alla Consolatione de Lorenzo Carli dit Lorenzo Siciliano.

 Après avoir connut quelques années difficiles, vivant dans le dénuement le plus total, il travaille, dès juin 1593, chez Giuseppe Cesari dit le Cavalier d’Arpin, où il produit ses premières oeuvres comme le Garçon avec un panier de fruits ou le Jeune Bacchus malade.

 Vers 1597, le Cardinal Del Monte découvre les oeuvres du Caravage comme La diseuse de bonne aventure ou les Musiciens et décide de le prendre sous sa protection et l’héberge dans son palais. Le Caravage peint alors ses premiers grands tableaux religieux.

 Dès 1607 commence son long périple forcé à travers l’Italie, contraint de quitter Rome car condamné à mort après avoir tué Tomasi.

 Il se rend à Malte l’été 1607 dans l’espoir d’obtenir la protection du puissant Ordre des Chevaliers de Malte. Il est présenté au grand maître, Alof de Wignacourt, dont il peint deux fois le portrait. En 1608, il est fait Chevalier de grâce de l’Ordre de Malte mais son passé le rattrape et il est radié de l’ordre et envoyé en prison d’où il arrive à s’évader grâce à l’aide d’amis haut placés.

 En 1610, apprenant que le pape est disposé à lui accorder sa grâce, Le Caravage embarque sur un bateau en direction de Rome. Il fait une escale à Porto-Ercole où il est arrété par erreur et envoyé en prison où il tombe malade. Relaché au bout de jours et ne trouvant pas son bateau, il finit par décéder quelques jours plus tard, le 18 juillet 1610. Il ne su jamais que le Pape Paul V l’avait finalement gracié.

MERISI DE CARAVAGGIO dans ART nature

( Nature morte avec fleurs et fruits )

tricheurs dans ART

( Tricheurs )

maffeo

( Portrait de Maffeo Barberini )

 

 

LUIGI ADEMOLLO 22 octobre, 2012

Classé dans : ART — jcn54 @ 8:06

Luigi Ademollo est un peintre italien, né à Milan, le 30 avril 1764 et décédé à Florence le 11 février 1849.

Luigi Ademollo s’inscrit à l’Académie de Beaux arts de Brera à Milan, où enseignent, Giuliano Traballesi, Giocondo Albertolli et Giuseppe Piermarini.

 Il arrive à Florence en 1788, et dès 1789, il exécute les décorations du Théâtre de la Pergola. La même année, il est nommé professeur à l’Académie des Beaux arts de Florence.

 Il passe sa vie principalement entre Florence et Rome. Ses capacités de décorateur sont accompagnées d’une considérable culture littéraire. Il intervient dans la chapelle du Palais Pitti et en diverses salles du même palais, à la Basilica della Santissima Annunziata, dans les palais Pucci et Capponi, en travaillant pour des églises dans la province de Bergame et dans la province de Brescia, à Lucques, à Livourne, à Pise et à Sienne.

 À Arezzo, il exécute des fresques de scènes de l’Ancien et du Nouveau Testament.

LUIGI ADEMOLLO dans ART arche

(Arche de l’alliance)

candelabre dans ART

                                              (le candélabre à sept branches)

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(Détail de la salle Dell’Arca)

 

 

PHILIPPO ABBIATI 11 octobre, 2012

Classé dans : ART — jcn54 @ 7:46

Filippo Abbiati, né à Milan en 1640 et décédé à Milan en 1715, est un peintre italien. C’est l’un des plus importants peintres milanais du maniérisme de l’école lombarde.

Élève de Carlo Francesco Nuvolone, qui inspira son touché fluide et le goût des arrières spacieux et lumineux, il devient ensuite l’élève d’Antonio Busca.

 Abbiati développa une abondante production surtout à Milan et dans ses alentours mais les informations sur sa vie sont rares.

 En 1671 il produit une toile – perdue – pour l’église milanaise de Santa Maria del Carmine et une autre, encore perdue, pour l’Ecole de San Giovanni à Murano, près de Venise, tandis qu’un voyage à Rome avant de 1674 a été supposé pour expliquer les influences de la peinture romaine sur sa toile du Bienheureux Ptolémée, conservée dans l’église milanaise de San Vittore al Corpo.

 Au Sanctuaire de la Beata Vergine dei Miracoli à Saronno il peignit en 1677 le retable da la Prédication de saint Jean-Baptiste, peut-être en collaboration avec Luca Borromeo.

 En 1688 il y peignera La chute de la manne.

 En 1680 lui sont commissionnés trois toiles pour l’église de San Sebastiano à Milan. Ses toiles sont exécutées de 1683 à 1696, en collaboration avec Federico Bianchi.

 Il peint Le concile d’Ephèse pour l’église de Santa Maria del Carmine et les 31 toiles des Scènes de la vie de saint Laurent pour la Cathédrale de Novara.

 Vers 1700, il peint pour l’église milanaise de Sant Antonio plusieurs toiles, comme notamment les Scènes de la vie de saint Andrea Avellino et le Miracle de la mule.

PHILIPPO ABBIATI dans ART carlo

(Carlo entrant dans Milan)

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(L’évanouissement de la Vierge)

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(Vénus,Amour et Vulcain)

 

 

JEAN BAPTISTE CARPEAUX 9 octobre, 2012

Classé dans : ART — jcn54 @ 7:41

Jean-Baptiste Carpeaux, né le 11 mai 1827 à Valenciennes et mort le 12 octobre 1875 à Courbevoie, est un sculpteur, peintre et dessinateur français.

JEAN BAPTISTE CARPEAUX dans ART jbcarpeaux

Les quatre parties du monde soutenant la sphère céleste

Le baron Haussmann, le préfet de Paris qui a donné à la ville le visage qu’on lui voit aujourd’hui, commande à Carpeaux en 1867 une fontaine pour les jardins du Luxembourg. Le sculpteur choisit de représenter les quatre parties du monde tournant autour de la sphère céleste. Non seulement les quatre allégories dansent une ronde, mais en outre elles tournoient sur elles-mêmes. L’Europe pose à peine les pieds par terre, l’Asie, avec sa longue natte, est presque de dos, l’Afrique est de trois-quarts, l’Amérique, coiffée de plumes, a le corps de profil et le visage de face. Ce goût pour le mouvement est l’une des caractéristiques de l’art de Carpeaux. Sa nature passionnée était tout le contraire du calme néo-classique. Ce n’est qu’en 1874, un an avant la mort de Carpeaux, que la fontaine est mise en place après avoir été coulée en bronze. L’enchevêtrement des jambes a beaucoup déplu au public de l’époque. Deux des bustes existent en tant qu’oeuvres indépendantes. Carpeaux transforme la Chinoise en Chinois et l’édite en plusieurs matériaux différents. La figure de l’Afrique donne naissance à un buste exposé par Carpeaux avec l’inscription Pourquoi naître esclave. Cette référence à l’abolition de l’esclavage est aussi visible dans la statue : elle porte autour de la cheville la chaîne brisée de l’esclavage sur laquelle l’Amérique pose son pied.

carpeaux dans ART

 

 

AIME-JULES DALOU 27 septembre, 2012

Classé dans : ART — jcn54 @ 20:13

Aimé-Jules Dalou, dit Jules Dalou, né à Paris le 31 décembre 1838 et mort dans la même ville le 15 avril 1902, est un sculpteur français.

AIME-JULES DALOU dans ART aimejulesdalou

Femme nue lisant dans un fauteuil

Les statuettes féminines de Dalou sont moins connues que ses travailleurs. Pourtant, il a inauguré ce genre en exposant une Brodeuse au Salon de 1870 et l’a poursuivi pendant son exil à Londres et jusqu’au début des années 1880. Ce sont des scènes réalistes, qui montrent des femmes allaitant, retirant leur bas, s’essuyant le pied… On peut parfois y reconnaître l’épouse de Dalou, qui jamais ne prend une pose de modèle professionnel, mais est au contraire saisie sur le vif dans sa vie quotidienne, comme dans un instantané. Elle peut être habillée, mais on la voit le plus souvent nue, dans son intimité. Si le regard de Dalou sur les femmes peut faire penser à celui de Degas, il a été plutôt marqué par la peinture galante du XVIIIe siècle, celle de Boucher et de Fragonard.

Ce nu est un bronze unique, d’après une esquisse en terre cuite conservée au musée du Petit Palais à Paris. Dans l’oeuvre définitive, intitulée la Liseuse, légèrement plus grande et surtout plus détaillée, la jeune femme, en robe de chambre et chaussée de mules, est assise sur une chaise dans le goût du XVIIIe siècle. Sa tête est tournée vers la gauche car elle tient son livre de côté, plus près de ses yeux et le croisement de ses jambes est inversé.

Ces statuettes plurent beaucoup. Ainsi, la Liseuse fut éditée en divers matériaux, en grès cérame, en porcelaine et en bronze.

femmenue dans ART

 

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