FRANCISCO DE GOYA 8 août, 2011

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Francisco de Goya y Lucientes est un peintre et graveur espagnol né le 30 mars 1746 à Fuendetodos, proche de Saragosse et mort le 16 avril 1828 à Bordeaux.

Dans les années 1760, Francisco de Goya est l’élève de José Luzán à Saragosse.

En 1775, Goya s’établit à Madrid et devient progressivement le peintre des Bourbons d’Espagne.

Le 25 juin 1786, il est officiellement nommé peintre du Roi d’Espagne.

C’est au tournant du siècle que Goya réalise ses plus fameux chefs-d’oeuvre.

 L’automne (ou les vendanges)

La maja nue

L’ ombrelle

 

 

 

HENRI MATISSE 5 août, 2011

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Henri Matisse est un peintre, dessinateur et sculpteur français né le 31 décembre 1869 au Cateau-Cambrésis et mort le 3 novembre 1954 à Nice.

Henri Matisse est le chef de file du fauvisme.

En 1891, Henri Matisse est admis à l’école des Beaux-Arts et il fréquente l’atelier de Gustave Moreau à partir de 1895. Il y rencontre Georges Rouault, Albert Marquet et visite les expositions de Jean-Baptiste Camille Corot et de Paul Cézanne.

En 1896, Matisse expose pour la première fois au  » Salon des Cent  » et au Salon de la Société Nationale des Beaux-Arts dont il devient membre associé sur proposition de Pierre Puvis de Chavannes. Il passe l’été à Belle-Ile-en-Mer et rencontre l’australien John Russel qui le présente auprès de Auguste Rodin et Camille Pissarro. Il commence à s’intéresser à la peinture impressionniste qu’il découvre en 1897 au musée du Luxembourg.

A partir de 1900, Henri Matisse travaille à l’Académie de la Grande Chaumière sous la direction d’Antoine Bourdelle et fréquente également l’atelier d’Eugène Carrière.

Au Salon d’automne de 1905, l’accrochage des œuvres de Matisse, Albert Marquet, Vlaminck, Derain et Kees Van Dongen provoque un scandale par leurs couleurs pures et violentes posées en aplat, c’est l’apparition du fauvisme.

Il entreprend de nombreux voyages qui seront autant de sources d’inspiration : Algérie, Italie, Allemagne, Maroc, Russie, États-Unis et Tahiti.

Dès le déclenchement de la Première Guerre mondiale, il quitte Collioure qu’il fréquentait régulièrement depuis 1905 pour s’intaller sur la Côte d’azur.

En 1925, Matisse est nommé chevalier de la Légion d’honneur.

En 1941, atteint d’un cancer, il est hospitalisé à la clinique du Parc de Lyon. Il s’installe à Vence et renoue avec le dessinateur et écrivain André Rouveyre, connu à l’atelier de Gustave Moreau.

En 1952 a lieu l’inauguration du musée Matisse du Cateau-Cambrésis, sa ville natale.

Femme algérienne

Les coloquintes

Nu bleu n° 1

 

SALVADOR DALI 26 juillet, 2011

Classé dans : ART — jcn54 @ 7:06

Salvador Dalí est un peintre Espagnol, né le 11 mai 1904 à Figueras, dans le Nord de l’Espagne, et décédé le 23 Janvier 1989 également à Figueras.

A l’age de sept ans, Salvador Dalí peint son premier tableau.

En 1922, Salvador Dalí est admis à l’Ecole des Beaux-Arts de San Fernando, à Madrid, où il se lie d’amitié avec Federico García Lorca et Luis Buñuel.

En 1926, Salvador Dalí fait un premier voyage à Paris et rencontre Pablo Picasso. Trois ans plus tard, il retourne dans la capitale française où il ait la connaissance des surréalistes : Tristan Tzara, Louis Aragon, André Breton, Paul Eluard… et sa femme, Gala.

En 1932, Dalí participe à la première exposition surréaliste aux États-Unis et obtient un succès triomphal.

Dalí s’intéresse aussi à bien d’autres arts, il est en particulier fasciné par le cinéma, la photographie, la mode ou la publicité. En outre, il est passionné par les sciences, notamment par la théorie de la relativité d’Albert Einstein qu’il a représenté à sa façon dans les célèbres Montres molles de son tableau Persistance de la mémoire.

Portrait du violoncelliste Ricardo Pichot

Vieil homme crépusculaire

Pomme nature morte (1919)

En mai 1983, Dalí peint son dernier tableau, La queue d’aronde.

 

JEAN-BAPTISTE CARPEAUX 24 juillet, 2011

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 Jean-Baptiste Carpeaux,né le 11 mai 1827 à Valenciennes et mort le 12 octobre 1875 à Courbevoie, est un sculpteur, peintre et dessinateur français.

 Le ravissant visage et la frimousse mutine au nez retroussé d’Eugénie Fiocre, danseuse à l’Opéra, sont particulièrement bien mis en valeur par le sculpteur Jean-Baptiste Carpeaux. A la même époque, la danseuse pose également pour les peintres Edgar Degas et Winterhalter. Le sens psychologique de Carpeaux, la finesse dont il fait preuve dans la découverte d’une personnalité s’observent dans les nombreux bustes qu’il sculpte, prenant pour modèles amis ou contemporains.

Fidèle à la nature, il tente d’insuffler le frémissement de la vie à ses portraits. Leurs visages, le réalisme des coiffures et la liberté dans le rendu du mouvement sont loin des portraits figés et froids courants à l’époque. Ce plâtre de 1869 renoue avec la tradition du XVIIIe siècle par le souci de la présence et de l’effet décoratif. Le grand drapé, les épaules nues de la jeune femme, la rose entre ses seins, la petite tête perchée sur un long cou mince, tout concourt à rendre son élégance et son charme.

 

 

JOHANNES VERMEER 21 juillet, 2011

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La Jeune Fille à la perle ou La Jeune Fille au turban (Meisje met de Parel) est un tableau de Johannes Vermeer peint vers 1665, exposé au Mauritshuis de La Haye. On l’appelle aussi la « Joconde du Nord ».

Johannes ou Jan Vermeer, né à Delft le 31 octobre 1632, et enterré dans cette même ville le 16 décembre 1675, est un peintre baroque néerlandais (Provinces-Unies) parmi les plus célèbres du siècle d’or. Il réalisa surtout, dans un style raffiné, des peintures de genre, principalement des intérieurs montrant des scènes de la vie domestique.

La carrière de Vermeer fut relativement courte et son œuvre de faible ampleur : en vingt ans, il n’a guère peint plus de quarante-cinq tableaux dont quelques-uns ont disparu : aujourd’hui, seuls trente-cinq lui sont attribués avec certitude, et deux font encore l’objet de discussions.

La laitière (vers 1660)

Le Christ dans la maison de Marthe et Marie (1654-1656)

 

SAMUEL HIRSZENBERG 3 juillet, 2011

Classé dans : ART — jcn54 @ 5:10

 Le Cimetière juif – Munich, 1802

Hirszenberg (1865-1908) est le premier grand peintre ashkénaze et ce tableau est son unique toile visible en France. L’occasion d’avoir un aperçu sur une oeuvre méconnue de cet artiste de Lodz.

Hirszenberg, fils ainé d’un ouvrier du tissage est né en 1865 à Lodz, en Pologne. Contre la volonté de son père, il a commencé à 15 ans, ses études à l’Académie des Beaux Arts de Cracovie, influencé par la peinture réaliste de Jan Matejko.

Après deux ans de formation à Cracovie, il a poursuivi ses études de 1885 à 1889 à l’Académie des Arts à Munich.

Après Munich, il a participé à une exposition à Paris où il a remporté une médaille d’argent. Et c’est à Paris, qu’il a achevé sa formation artistique à l’Académie Colarossi.

En 1891, il est retourné en Pologne et s’est installé dans sa villle natale de Lodz. Et c’est vers 1899, qu’il a abordé les termes de l’histoire  juive « larmoyante », dont les trois oeuvres les plus célèbres furent : Juif errant (1899), Exil (1904) et Drapeau noir (1905).

Il a mis près de quatre ans pour réaliser « le Juif Éternel » qu’il a exposé à Paris, mais suite à la non reconnaissance du public de ce tableau tant à Paris, qu’à Munich et Berlin, il s’est retiré pour des raisons de santé. En 1907 il a émigré en Palestine où il est décédé en 1908.

Le Juif errant (1899)

 

 

JEAN-ANTOINE HOUDON 29 juin, 2011

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Jean-Antoine Houdon (20 mars 1741, Versailles – 15 juillet 1828, Paris), bien connu pour ses œuvres réalistes, est un sculpteur français. Habile non seulement dans le travail en marbre, Houdon avait aussi un talent et aptitude pour façonner l’argile, le plâtre, le bronze et la terre cuite. On l’appelle souvent « le sculpteur des Lumières ».

À Paris, il existe une rue Houdon nommée en l’honneur du sculpteur en 1864, dans le 18e arrondissement.

Il est l’auteur de plusieurs statues de Voltaire : Voltaire, buste tête nue ; Voltaire, buste en habit ; Voltaire assis (destiné à l’Académie et placé à la Comédie Française) ; Voltaire représenté debout(Panthéon). Ces œuvres ont été reproduites en terre cuite, en plâtre et bronze dans différents formats. On les trouve dans les musées de France mais aussi dans les musées des Etats-Unis, d’Australie, de Russie, des Pays-Bas.

 Voltaire, buste tête nue (1778)

 

LE MILLENIUM STAR 25 juin, 2011

Classé dans : ART — jcn54 @ 7:07

Le  diamant brut de 777 carats a été extrait dans une mine du Congo en 1990.

Après cinq mois d’examen, il a été décidé de la tailler en trois pierres. Le Millenium Star est la pierre la plus grosse des trois obtenues.

C’est un diamant parfaitement pur de forme poire (54 facettes) de 203 carats.

 

 

 

LE CENTENAIRE 22 juin, 2011

Classé dans : ART — jcn54 @ 6:34

Ce diamant brut de 599 carats a été découvert dans la mine Premier en Afrique du Sud en 1986.

Il a été confié à Gaby Tillkowski poiur être taillé.

Il fallut prendre des précautions énormes pour procéder à la taille qui conduisit à l’obtention d’un diamant de 273.85 carats, d’une couleur exceptionnelle, mesurant 39.9 x 50.50 x 24.55 mm, portant 247 facettes.

Jamais auparavant un si grand nombre de facettes n’avaient été polies sur un seul diamant.

Il fut présenté en 1988 lors de la cérémonie du centième anniversaire de la De Beers et reçut, naturellement, le nom de Centenaire.

Assuré à l’époque pour 100 millions de dollars, il est exposé à la Tour de Londres depuis 1991.

 

LE SPIRIT OF DE GRISOGONO 13 juin, 2011

Classé dans : ART — jcn54 @ 7:50

 

Une couleur fait actuellement sensation : le noir ! Le célèbre joaillier suisse de GRISOGONO le sait bien puisqu’il est à l’origine de cet engouement. En effet, c’est lui, qui le premier, créa des collections très remarquées de joyaux et de montres en diamants noirs. Il a présenté, en exclusivité mondiale, le plus gros diamant noir « Taille Moghul » du monde : le « Spirit of de GRISOGONO » de 312.30 carats. Ce diamant exceptionnel a pu être admiré jusqu’au 15 juillet au Muséum national d’Histoire naturelle à Paris à l’occasion de l’exposition « Diamants ».

A l’origine, ce diamant avait un poids brut de 587 carats et avait été récolté il y a plusieurs dizaines d’années dans l’ouest du Centre Afrique avant d’être importé en Suisse. Ce joyau original a été ensuite taillé suivant la technique de la taille Moghul. Ce style historique de taille a été développé il y a des centaines d’années en Inde et peut être remarqué dans un nombre de diamants historiques tels que le diamant Orloff dans le Trésor Russe de la Fondation du Diamant et plusieurs diamants dans les joyaux impériaux d’Iran. Il est reconnu maintenant que la taille Moghul est à l’origine de la taille Rose moderne. L’étude de cette taille et la taille elle-même, ont demandé plus d’une année de travail.

Le « Spirit of de GRISOGONO » facetté de 312.30 carats est décrit dans le Rapport Gübelin Gem Lab comme un spécimen rare pour cette variété de diamants au vu de sa grande taille. C’est le diamant noir naturel le plus grand que le laboratoire GGL ait eu à tester à ce jour.