Jean Claude's news

"Le moment présent a un avantage sur tous les autres : il nous appartient." (Charles Caleb Colton)

 
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EGLISE DE SAINT-MARD (54) 25 février, 2011

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Église du 18ème siècle, chevet gothique du 15ème et nef du 18éme.

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Photo datant de 1919

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L’église actuelle

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EGLISE DE DOMBASLE (54) 21 février, 2011

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Église du XIXème siècle à l’architecture surprenante

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EGLISE SAINT MARTIN A BAYON (54) 17 février, 2011

Classé dans : CHAPELLES, EGLISES, CATHEDRALES — jcn54 @ 8:58

 Elle fut construite entre 1881 et 1883 sur l’emplacement de l’ancienne chapelle castrale qui menaçait ruine. Elle s’apparente par son style à celui de la Renaissance espagnole.

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Statue de Saint Paul

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Statue de Saint Pierre

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Tympan du porche

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La mise au tombeau

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Le sépulcre

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Autel de Saint Martin

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Autel de la Vierge Marie

 

 

 
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LA CHAPELLE PALATINE DU CHATEAU DE GERBEVILLER (54) 12 février, 2011

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Monument chargé d’histoire, la Chapelle Palatine du château se situe curieusement à l’extérieur du domaine : il faut traverser la route pour l’atteindre. En effet, le bâtiment a été hérité du couvent des Carmes déchaussés (XVIIe siècle), malheureusement détruit aujourd’hui, et n’est revenu entre les mains de la famille propriétaire qu’en 1798.

La chapelle n’en reste pas moins un bâtiment curieux. C’est vers 1860 que le Marquis Ernest de Lambertye, alors camérier auprès du pape, décide de la restauration du monument et de sa décoration. La chapelle accueillera alors quantité de reliquaires, ainsi que des œuvres dignes des plus grands édifices : tableaux de maîtres, sculptures, trésors d’orfèvrerie, orgue de Cavaillé-Coll, ne représentent qu’une petite partie de l’inventaire.

Malheureusement, le passage des Allemands le 24 août 1914, lors de la « bataille de Gerbéviller », a fait disparaître une grande partie de cette collection, et l’édifice a largement changé d’apparence depuis 1921, date de la restauration. Les grandes sacristies ont disparu, de même que la quasi-totalité des vêtements sacerdotaux qu’elles abritaient. La chapelle a perdu la moitié de sa hauteur en façade.

On peut tout de même y admirer aujourd’hui le jubé, les vitraux dont certains datent du XVe siècle, un splendide Christ en bronze, ce qu’il reste des 7 autels, ainsi que quelques uns des nombreux reliquaires d’origine.

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EGLISE NOTRE-DAME-DE-BONSECOURS NANCY (54) [2] 9 février, 2011

Classé dans : CHAPELLES, EGLISES, CATHEDRALES — jcn54 @ 9:46

L’étroite nef, n’en est pas moins haute de 18 mètres, coupée par une arcade surbaissée dominée par la voûte. Les murs sont couverts d’un revêtement de stuc coloré, aux motifs géométriques, donnant l’apparence du marbre et d’un arc triomphal tendu de fausses draperies. Cette réalisation est l’œuvre de Louis et Nicolas Manciaux qui travaillèrent longtemps dans les châteaux de Stanislas. Les voûtes sont en 1742 décorées par le peintre Joseph Gilles, dit « le Provençal », les fresques restaurées en 1853 par Bourdier. Ces représentations sont consacrées dans la première travée à l’Annonciation, dans la seconde et troisième travée à l’Assomption et dans la quatrième à l’Immaculée-Conception. Les lunettes sont décorées d’emblèmes de Marie. Les fresques de Bonsecours témoignent de la diversité culturelle de l’époque des lumières, avec des influences venues de France, d’Italie, conformes au goût de Stanislas.

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La chaire est très ouvragée, et d’un travail délicat. Elle repose sur un support fait de quatre branches de style Louis XV, qui se terminent par des symboles des évangélistes. Ces quatre panneaux sont ornés de bas-reliefs représentant le Sauveur entouré des apôtres et trois des évangélistes, Saint Mathieu, Saint Marc et Saint Jean. Sur le dossier est figurée la scène du Calvaire. L’abat-voix est soutenu par deux palmiers qui se courbent et forment une console.

De belles grilles bordaient naguère la coursive, elles ont été enlevées à la Révolution; il ne reste plus aujourd’hui que la grille du sanctuaire au chiffre de Stanislas Leszczynski (S.R.L.L.) que l’on attribue au serrurier Jean Lamour.

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Catherine Opalinska

Le premier monument installé en 1749 côté droit (côté de l’évangile) pour la reine Catherine Opalinska qui mourut le 19 mars 1747. Stanislas commande le mausolée à Nicolas-Sébastien Adam, qui travaillait à Paris et jouissait d’une grande vogue. La famille Adam était déjà bien connue à Nancy car il était le fils du sculpteur nancéien, Jacob Sigisbert Adam.

Ce monument est mis en place en 1749 et c’est une œuvre de grandes dimensions. La reine est représentée agenouillée sur son tombeau, qui est placé devant une pyramide de marbre et supporté par un socle élevé, un ange la guide vers le ciel, dont les splendeurs entrevues éclairent son visage. Son sceptre et sa couronne sont déposés à ses pieds. Un aigle qui tourne sa tête vers la souveraine couvre le tombeau de ses ailes magnifiquement déployées. Sur le soubassement se trouve l’inscription gravée sur du marbre blanc, flanquée de deux bas-reliefs en médaillons de la même matière, d’un puissant relief et d’une grâce inégalable, la Foi et la Charité. L’ensemble est exécuté dans la pure tradition du baroque berninesque (attitude théâtrale, corps déhanché et vêtements agités) qui inspire les artistes de cette époque.

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Stanislas Leszczynski

Stanislas décède le 23 février 1766, à quatre-vingt-huit ans au château de Lunéville. Louis XV commande le cénotaphe de Stanislas à Claude-Louis Vassé. Louis XV gendre du roi de Pologne sera moins généreux que son beau père pour Catherine Opalinska. Le tombeau de Stanislas demeure l’œuvre majeure de Claude-Louis Vassé, artiste reconnu de mérite, mais qui n’a pas la valeur de Nicolas-Sébastien Adam. Vassé décède avant d’avoir terminé sa commande et c’est Félix Lecomte, un de ses élèves qui termine le travail en cours. Le monument ne sera mis en place que tardivement en 1775. Le mausolée de Stanislas est placé, du côté de l’épître, face à celui de Catherine Opalinska.

Son ordonnance générale est la même que celle du tombeau de Catherine. Le roi, vêtu à la polonaise, représenté couché à la manière antique sur son tombeau, la main droite est appuyée sur un bâton de commandement. Les attributs de la royauté sont à ses côtés. Sur le vaste socle qui supporte le tombeau est posé le globe terrestre à demi enveloppé dans un voile de deuil, symbole de la douleur universelle que causa la mort du souverain. On remarque à gauche, la Charité qui se pâme, prostrée, et, à droite, la Lorraine agenouillée, tournant avec affection son regard vers le souverain, qui tient une tablette où sont gravés ces textes bibliques : Non recedet memoria ejus, et nomen ejus requiretur a generatione in generationem.

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Marie Leszczynska

Marie Leszczynska, fille de Stanislas et reine de France, pour marquer son affection à Nancy, avait souhaité que son cœur repose à Nancy.

Elle décède le 24 juin 1768 et son cœur est transporté dans le caveau le 23 septembre de la même année. Sur demande de Louis XV le monument est commandé à Claude-Louis Vassé. Le monument de Marie Leszczynska est de petite dimension, un médaillon de marbre blanc que découvrent deux génies en pleurs, dont l’un présente le cœur en sa main, donne le profil du visage de la reine. Texte traduit : Au Dieu très bon, très grand : Marie-Sophie épouse du roi Louis XV, fille de Stanislas (…) Versailles 24 juin 1768.

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L’église souffre beaucoup durant la Révolution. Les mausolées sont sauvés en raison de leur caractère artistique et transférés dans la chapelle de la Visitation transformée en musée. Dans la crypte les caveaux sont profanés, le plomb des cercueils envoyé à la fonte, et les corps enfouis dans un coin de la crypte.

L’église échappe cependant à la destruction. En 1806, le chœur est de nouveau restauré car les travaux ont été interrompus par la tourmente révolutionnaire, grâce au soutien de Mme de Bourgogne. En 1807, les monuments sont à nouveau installés dans le sanctuaire et les sépultures rétablies.

L’église reçoit maintes visites princières. Le comte d’Artois (le futur Charles X) vient, le 19 mars 1814, consacrer la Vierge. Il revient en novembre de la même année. En 1831, Louis-Philippe vient s’agenouiller devant la Vierge. L’impératrice Eugénie s’y rend en 1866. À plusieurs reprises, les Polonais se recueillent devant les restes de leur ancien roi.

Elle devient une simple annexe de l’église Saint-Pierre de Nancy, puis en 1841 l’église d’une maison de retraite pour les prêtres âgés du diocèse, d’où le nom de collégiale qu’on lui donne couramment.

Elle ne devient paroisse qu’en 1844, grâce à l’abbé Morel. Il entreprend la restauration complète de l’édifice et agrandit le chœur en 1862. Le pape Pie IX, offre en 1865, un diadème, surmonté d’une croix de Lorraine, tenu par deux anges symbolisant l’un la France et l’autre la Lorraine. À cette occasion du couronnement de la statue de la Vierge, de grandes fêtes consacrent cette faveur accordée par le pape Pie IX.

Le sanctuaire est devenu indissociable de l’histoire de la Pologne. D’illustres personnalités ou de simples citoyens polonais de passage se recueillent sur le cénotaphe de Stanislas.

(source Wikipédia)

 

 
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EGLISE NOTRE-DAME-DE-BONSECOURS NANCY (54) [1] 7 février, 2011

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L’église Notre-Dame-de-Bonsecours de Nancy est un édifice religieux du XVIIIe siècle que l’on doit à Emmanue Héré.

Le 5 janvier 1477, emmenés par le duc René II de Lorraine, les Lorrains et leurs alliés écrasent les Bourguignons. Cette date marque la fin de la bataille de Nancy par la mort de Charles le Téméraire. Des milliers de soldats morts en ce lieu lors de la bataille sont inhumés dans une fosse commune, près du ruisseau de Jarville. L’étendard de René II portait lors de la bataille l’image de l’Annonciation. En 1484, un religieux obtient de René II la permission d’y élever une chapelle et un ermitage. Le sanctuaire placé sous le vocable de Notre-Dame-de-Bonsecours par le duc est parfois nommé église Notre-Dame de la Victoire, les Lorrains la nommaient « Chapelle des Bourguignons ». La chapelle primitive de Notre-Dame-de-Bonsecours est destinée à remercier la Vierge Marie de la victoire de René II.

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Sainte Catherine 

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Saint Stanislas

Stanislas commande la construction de son mausolée à un jeune architecte Emmanuel Héré. La première pierre de l’église de Bonsecours est posée le 14 août 1738 par Mgr Bégon, évêque de Toul.

Emmanuel Héré, réalise ainsi l’une de ses premières œuvres terminée en 1741. Limité par l’espace disponible, il donne à la façade étroite cette forme très élancée. La hauteur est encore accentuée par un clocher, surmonté d’un toit bulbeux, couronné d’une flèche. Quatre colonnes engagées, d’ordre composite, proviennent du château de La Malgrange que le duc Léopold Ier de Lorraine avait commandé à Germain Boffrand et qui était demeuré inachevé. Les colonnes supportent un entablement et un attique que termine la tour. Dans l’entrecolonnement central s’ouvre une porte au-dessus de laquelle est ménagée une fenêtre, dont le cartouche se compose des armoiries de Stanislas et de la devise des minimes. La devise des Minimes « Caritas » rappelle que le sanctuaire avait été confié à l’ordre des Minimes. La façade est ornée dans la partie inférieure de niches où sont logés Saint Stanislas et Sainte Catherine.

 

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(source wikipédia)

 

 

 
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LA CHAPELLE SAINT JAOUA A PLOUVIEN (29) 23 janvier, 2011

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Édifiée sur les vestiges d’une construction romane, la chapelle est bâtie en plusieurs étapes échelonnées sur deux siècles. Elle est dédiée à saint Jaoua, qui est l’un des compagnons de saint Paul-Aurélien, venu d’Angleterre pour s’installer en Armorique au vie siècle. Jaoua vient à Plouvien et y construit deux ermitages : le premier à l’emplacement de la chapelle et le second, plus grand, au lieu-dit Minihy, monastère. Devenu co-évêque de Léon, il serait mort à Brasparts. Il est vénéré lors du pardon annuel du mois de mai.

L’ossuaire de Saint Jaoua est de style gothique. Il a huit arcades et est adossé au côté sud de la nef de la chapelle. Il se caractérise par le fait qu’il appartient à la masse même de l’édifice.

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Tombeau de Saint Jaoua

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Elle comporte une nef, deux chapelles formant transept et un chevet plat, le tout couvert de voûtes lambrissées. Les entraits sont décorés de figures monstrueuses. Les sablières sont sculptées et ornées d’armoiries. A l’intérieur se trouve un tombeau en granit avec un gisant représentant Saint-Jaoua. Le porche méridional abrite des statues en bois représentant les Evangélistes surmontés des animaux symboliques. Le portail est surmonté d’un pignon à crochets et d’une petite porte à accolade. Vers l’ouest, un ossuaire est adossé au mur de la nef. La sacristie est une adjonction du 17e siècle. De cette même époque date la fontaine située à l’ouest du cimetière. Ce dernier contient deux calvaires, un du 15e siècle, l’autre moderne.

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Carte postale ancienne

 

 
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EGLISE SAINT JEAN-BAPTISTE D’AMANCE (54) 5 janvier, 2011

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Église de style gothique : chapelle du XVIe. siècle.

Situé à quelques kilomètres à l’est de Nancy, le village perché d’Amance a conservé un édifice religieux gothique remarquable situé au pied de la motte castrale des seigneurs du lieu : l’église paroissiale Saint-Jean-Baptiste (XVe-XVIe siècles).

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La tour-porche est reconstruite, entre 1766 et 1776,  après approbation de l’architecte nancéen Pierre Lirès. C’est l’entrepreneur François Dupuis qui est chargé des travaux grâce à une partie du bois communal rassemblé par les villageois (en 1766) et une taxe prélevé sur ces derniers (s’élevant à 1614 livres en 1773).

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De l’église primitive, sans doute du début XIe siècle (contemporaine du premier château), il ne reste rien ! C’est au XVe siècle que l’édifice semble reconstruit en style gothique « flamboyant » avec des influences renaissance.

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Baie gothique (fin XVe siècle ou début XVIe siècle)

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Voûte gothique de la nef

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Choeur

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Vitrail datant du XXe siècle

 

 

 
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L’EGLISE SAINT LAURENT DE AUBENAS (07) 18 novembre, 2010

Classé dans : CHAPELLES, EGLISES, CATHEDRALES — jcn54 @ 9:52

Une beauté repliée sur elle même

L’Église Saint Laurent de Aubenas est construite au cœur de la vieille ville.
Elle est presque entièrement enclavée dans des constructions environnantes.
Sa façade d’entrée butte brutalement sur la rue sans réel parvis, sans non plus s’annoncer comme la plupart des édifices de son importance.
Un second portail latéral est si discret qu’on passe devant sans le voir. On pourrait penser une entrée d’immeuble anodin. Seul une petite statue de la Vierge au dessus du portail annonce la vocation du lieux.
Mais la façade principale, de style néo roman du XIXeme siècle est de toute beauté et reprend les canons esthétique de l’architecture romane sans fioriture ni interprétation fantaisiste.
L’intérieur de l’Eglise est très sombre car elle est enserrée de constructions sur les cotés, ainsi seuls des vitraux en partie haute de la nef apportent un peu de clarté. L’intégralité de la nef et des bas cotés sont remplis de bancs, pas un espace de libre !
On se sent un peu étouffé par cette surcharge de mobilier et ce manque de vide. Mais sûrement qu’à un moment de son histoire ils avaient toute leur utilité.
Le chœur comprend de riches stalles et mobilier de style baroques très opulent. L’ensemble de ces éléments est en bois sombre laissé à nu sans stucs ni dorures. Ainsi ils sont peu mis en valeur dans la semi obscurité ambiante et ce ne sont pas les veilleuses en bronze doré qui permettent d’en apprécier toute la richesse de la sculpture pourtant d’un grand raffinement.De fine et délicates tribunes filent entre les imposants piliers qui soutiennent la lourde voûte à croisée d’ogives. Elles sont peu élevées et rendent bien leur lourdeur et robustesse d’ensemble. Ainsi les gardes corps en ferronneries très ajourées des tribunes jouent tout en contraste.

L’atmosphère est propice au recueillement ou simplement pour venir y chercher un peu de quiétude et de fraîcheur après une visite de la ville mouvementée durant un été caniculaire.

L’Eglise est ouverte tous les jours et la visite libre et gratuite.

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Elle fut détruite durant les guerres de religion, et reconstruite en 1612 sous l’ordonnance de Marie de Médicis. A l’intérieur, les boiseries datent du XVIIIème ; elles proviennent de l’ancien Couvent des Jésuites. Chapelle Saint Clair du XVè siècle (Chapelle des Martyrs). Quant à la façade, elle est récente (XIXè siècle).

 

 
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LA CHAPELLE POL AU PAYS DES ABERS (29) 15 novembre, 2010

Classé dans : CHAPELLES, EGLISES, CATHEDRALES,LA BRETAGNE — jcn54 @ 9:31

Edifice en granit, datant du XVIe siècle, reconstruit en 1870 et rénové en 2001. Un ancien site monastique aurait été fondé initialement à cet endroit, par St Pol Aurélien. Selon la tradition, quand un marin se perd en mer, on retrouve son corps 3 jours après la messe qui est dite en son honneur dans la chapelle. La Chapelle est située au milieu des rochers, à proximité du phare de Pontusval.

Le Calvaire du XVIe siècle
Dressé devant la Chapelle Pol, il porte le Christ en croix, encadré par la Vierge et St Nicolas.

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Située à proximité immédiate de la Chapelle Pol, et construite par Vauban, cette guérite rejoignait l’ancien réseau de surveillance des côtes, en prévenant de l’arrivée des navires ennemis, en guettant les naufrages et en empêchant les pillages d’épaves.

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