LA BASILIQUE SAINT-SERVAIS A MAASTRICHT (PAYS-BAS) 19 septembre, 2011

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Maastricht possède de nombreuses églises, magnifiques, et même deux basiliques. La basilique Saint-Servais (Basiliek van St. Servaas), qui se trouve sur la célèbre place Vrijthof de Maastricht, est une basilique romane, renfermant cryptes et trésors. Les pèlerins affluent à Maastricht depuis des siècles pour se recueillir sur la tombe de Saint Servais.

La légende de Saint Servais

Les premières églises de Maastricht furent construites suite à la venue dans la ville de Saint Servais, au quatrième siècle. Après sa mort, Maastricht devint un lieu de pèlerinage populaire. Selon la légende, Saint Servais fut le premier évêque de la ville. Une petite chapelle fut construite à l’emplacement de sa sépulture. Au cours des siècles qui suivirent, la chapelle se mua en église.

 

 

EGLISE SAINT-ETIENNE DE SAINT-ESTEPHE (33) [1] 14 septembre, 2011

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 L’abbé Marc-Antoine Lalanne (1715-1791) demeuré célèbre par son zèle apostolique, fut nommé curé de Saint-Estèphe en 1751 et décida d’ériger pour ses fidèles un édifice aussi noble que possible.

Il reconstruisit donc entièrement l’église à partir de 1764 sur les murs de la vieille église romane qui date environ du IXème siècle et dont on peut voir à l’extérieur les vieilles ouvertures. Il la fit somptueusement orner (retables, tableaux, mobilier, etc…) au point d’en faire une des plus beaux ensembles que l’art religieux du XVIIIème siècle ait produits en Gironde.

De nouveaux travaux eurent lieu en 1843, puis vers 1855 l’architecte Duphot édifia le clocher actuel.

Enfin, l’installation des stalles (fin XIXème siècle) et des orgues (1892) vint compléter le décor intérieur.

 

 

EGLISE NOTRE-DAME DU BON SECOURS ET DE SAINT-LOUIS A VERDON SUR MER (33) 5 septembre, 2011

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C’est à la demande répétée de marins, de capitaines de navires et des pilotes de l’estuaire qu’un édifice
      religieux va être établi au Verdon, à cette pointe de sable trop éloignée de Soulac pour que ces fidèles
      de passage puissent s’y rendre sans perte de temps pour recevoir un secours spirituel. L’avancée des  
      sables rend la liaison entre les deux bourgs très aléatoire.

La population du Verdon s’accroissant, Le Verdon devient paroisse en 1849. La chapelle devenant trop petite, on décide plus tard 
        de construire une nouvelle église qui est achevée en 1872.

Il s’agit d’un édifice copié du style roman, avec transept et voûtes en croisées. Le clocher, au portail, est copié du gothique. Il s’élève 
       à 38 mètres, la flèche de 15 mètres reposant sur une tour carrée qui mesure 23 mètres de hauteur et 5 mètres de côté. L’abside ,
       romane, est en hémicycle à deux étages dont le premier est aveugle. Le second est percé de cinq fenêtres.

 

LA BASILIQUE DE SAINT-NICOLAS DE PORT : LES VITRAUX 4 août, 2011

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La multitude des verrières offrait une large surface de travail pour les maîtres verriers. Des artistes de renommée internationale, locaux ou anonymes ont oeuvré pour colorer cette lumière abondante. Aucun programme iconographique n’ayant été imposé, le choix des scènes et des personnages illustrés restaient du ressort du commanditaire de chaque vitrail.

 

 

LA BASILIQUE DE SAINT-NICOLAS DE PORT : LES GARGOUILLES 1 août, 2011

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En architecture, les gargouilles (Étymologie, la gorge ou l’œsophage, du latin, gurgulio, gulia et autres mots similaires dérivant de la racine gar-, par allusion au glouglou de l’eau) sont des ouvrages sculptés d’évacuation des eaux de pluie des toitures, propres à l’art roman puis surtout gothique. Elles sont généralement des figures grotesques.

Au nombre de 95, en voici quelques unes…

 

LA BASILIQUE DE SAINT-NICOLAS-DE-PORT (54) [2] 29 juillet, 2011

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Quelques données

Longueur extérieure : 87 m, longueur intérieure : 78,50 m, largeur totale : 31 m, largeur de la nef : 11,50 m, largeur des collatéraux : 7,10 m, hauteur sous voûtes : 30,25 m, diamètre de la rose ouest : 6 m, hauteur tour nord : 87 m, hauteur tour sud : 85 m, colonnes du transept : 21,50 m, nombre de fenêtres : 79, nombre de gargouilles : 95.

 

Les loges des marchands

Chapelle Notre-Dame des Victoires

Les colonnes du transept inondé de lumière

Chapelle Saint-Nicolas

Peintures sur colonnes

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

LA BASILIQUE DE SAINT-NICOLAS DE PORT (54) [1] 28 juillet, 2011

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La Basilique Saint-Nicolas-de-Port, près de Nancy, est un édifice gothique flamboyant remarquable, le plus majestueux de Lorraine voire d’Europe.

Construite à partir de 1481, l’église sera consacrée basilique en 1950 par Pie XII. Dédiée à Saint-Nicolas, elle fut fréquentée par tous les ducs, rois et princes venus implorer la protection du Saint à la légende miraculeuse.

L’ensemble de l’architecture est d’une grande sobriété aux proportions harmonieuses. Les deux imposantes tours s’élèvent à plus de 80 mètres. A l’intérieur, l’énorme vaisseau est soutenu par de gros piliers, les plus hauts de France.

La dernière flamboyance du gothique

Par la rapidité de sa construction, la basilique se Saint-Nicolas-de-Port présente une grande unité de style. Elle est la plus grande et la dernière église de France intégralement conçue et réalisée dans le style gothique flamboyant. Toutes les caractéristiques architecturales de ce gothique tardif sont présentes.

Saint Nicolas

 

 

Sans les 7 millions de dollars, providentiels que Camille Croué-Friedman a légués « afin que la basilique retrouve sa beauté originelle », la grande église des Lorrains, basilique mineure depuis 1950, ne serait pas aussi majestueuse aujourd’hui. Son lifting, qui a débuté en 1983,  a duré de nombreuses années.

 

 

 

 

EGLISE D’HAUSSONVILLE (54) 22 juin, 2011

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L’église est composée de deux parties. L’une qui date de la fondation du chapitre, en 1435; l’autre, de 1719, a été reconstruite par Mr Gérard, chanoine et curé d’Haussonville, l’ancienne nef ayant été brûlée, en 1635, pendant les guerres qui ravagèrent la province, durant lesquelles le village lui-même fut ruiné.

 

 

EGLISE SAINT-JUST A ARBOIS (39) 10 juin, 2011

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La construction de cette église remonte au XIIe siècle et sa superbe nef, voûtée un siècle plus tard, date de cette origine. Le clocher typiquement franc-comtois a été réalisé en pierre calcaire ocre au XVIe siècle. Dominant la ville, le clocher abrite un carillon de onze cloches datant de 1738 dont l’une d’elles est la plus grosse cloche du Jura. Il fut incendié accidentellement en 1651 par un feu d’artifice et perdit alors considérablement de sa hauteur.

 

 

LA PETITE CHAPELLE 31 mai, 2011

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Découverte dans la montagne ardèchoise

Hélas nous n’avons jamais trouvé le chemin pour y accéder…