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LA POINTE DE PEN HIR (29) 10 octobre, 2014
Réputée comme la plus belle des quatre avancées rocheuses de la presqu’île de Crozon elle présente d’impressionnantes falaises à pic (70m).
Réputée comme la plus belle des quatre avancées rocheuses de la presqu’île de Crozon elle présente d’impressionnantes falaises à pic (70m).
À quelques mètres des alignements de Lagatjar, se trouvent les ruines du manoir de Pierre Paul Roux, alias Saint-Pol-Roux, alias Le Magnifique.
Immense poète, reconnu dès ses débuts par Mallarmé, précurseur du mouvement surréaliste, il tourna le dos au milieu littéraire parisien et vint s’installer en juin 1905 avec femme et enfants dans ce manoir qu’il fit construire sur la falaise de Pen Hat. Son isolement volontaire était néanmoins relatif : il était très impliqué dans la vie quotidienne camarétoise, et nombre de ses amis venaient régulièrement lui rendre visite ici (Victor Ségalen, Max Jacob, Pierre Mac-Orlan, André Breton…).
Une demi-douzaine de coques militaires et civiles vieillissent au cimetière marin de Landévennec, dans les premiers virages de l’Aulne depuis 1858 environ (voir site Arsenaux.fr) . En plein site remarquable, à l’entrée d’une rivière réputée pour la richesse de sa biodiversité. Peintures écaillées, coques rouillées entreposées là depuis plusieurs années et sans doute pour longtemps, vu le retard accumulé dans le traitement des vieux navires sont parties prenantes du paysage, les coques du cimetière marin ont pris un sérieux coup de vieux. L’endroit est magique, paisible et impressionnant à la fois. La lumière y est étonnante. Le coup d’oeil de la route qui mène à la presqu’île de Crozon, et surtout du fameux belvédère de Landévennec, fait partie des « must » à ne pas manquer en Bretagne.
Le site avait beau être classé Monument historique depuis 1883, sans la restauration effectuée en 1928-1929 par MM. Bénard-Le Pontois et Chabal (l’architecte de la station balnéaire de Morgat), il ne resterait probablement plus grand chose de ces pierres debout dont beaucoup étaient à terre.
Par la suite, le site a eu plusieurs usages, entre autre terrain de foot et même, dans les années 1930, camping sauvage !
Maintenant, on ne fait plus que se promener tranquillement entre ces menhirs. En se posant d’éternelles questions…
Véritable perle de la ria d’Etel, Saint-Cado en est le site le plus connu. L’île de Saint-Cado et l’île de Nichtarguer (et son abri ostréicole) ont été magnifiquement immortalisées par Philip Plisson. L’île de Saint-Cado est reliée à la terre ferme par une chaussée. La légende raconte qu’elle aurait été créée par le diable après négociation avec Saint-Cado. L’accord prévoyait en échange l’âme du premier passant, qui fut … un chat ! L’île de Saint-Cado comporte une chapelle du XIIème siècle, à l’intérieur de laquelle se trouve le lit de Saint-Cado. La légende raconte qu’en se penchant dessus, on entend le bruit de la mer … et cela guérit les sourds ! Un petit conseil : il faut aller à Saint-Cado si possible au coucher du soleil. Le soleil rasant illumine le site et c’est tout simplement … extraordinaire !
(Source : Terresceltes.net) Photo : François TRINEL
A l’est du centre ville, il déploie sur 7 ha son style anglais et rassemble plus de 50 espèces (cyprès, pin, séquoia, cèdre, genévrier,…). Édifié en 1897, un kiosque à musique borde la pièce d’eau, tandis que, plus haut, se trouve la volière (1907) d’où vous apercevez la glacière (XVIIe siècle) et, tout proche, l’enclos des daims (1887).
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