Jean Claude's news

"Le moment présent a un avantage sur tous les autres : il nous appartient." (Charles Caleb Colton)

 

EGLISE COLLEGIALE SAINT-LEGER A MARSAL (57) 14 mars, 2014

Classé dans : CHAPELLES, EGLISES, CATHEDRALES,LORRAINE — jcn54 @ 4:56

MARSAL 038

MARSAL 041

MARSAL 042

MARSAL 043

MARSAL 044

MARSAL 045

MARSAL 048

MARSAL 049

MARSAL 050

MARSAL 051

MARSAL 052

MARSAL 053

MARSAL 054

MARSAL 055

MARSAL 056

 

 

 

PORTE DE FRANCE A MARSAL (57) 13 mars, 2014

Classé dans : LORRAINE,RENCONTRES AU HASARD DE NOS BALADES — jcn54 @ 5:21

L’entrée dans le village de Marsal en venant de Nancy se fait par l’imposante Porte de France, vestige des fortifications de Vauban, dont il ne reste plus autour du village que tas de terre, de cailloux et de débris de tuiles.

Depuis 1973, le monument abrite le musée départemental du sel qui retrace non seulement l’étonnante histoire de la localité mais surtout l’histoire de l’exploitation du sel, « l’or blanc », depuis les temps les plus reculés de notre histoire.

La porte de France

 La porte de France est un monument historique de Marsal .

Elle est placée à une des 4 entrées du village. Au Moyen-Age , il n’y avait que 2 portes , celle de Bourgogne à l’est et la porte de France à l’ouest .

 En arrivant vers la Porte de France nous pouvons voir la buanderie( pièce où l’on fait la lessive ) royale.

     A gauche se trouve le corps de garde et un cachot , au dessus , un pavillon d’officier et la prison militaire . Au Moyen-Âge la porte de France servait de refuge aux habitants de Marsal.

MARSAL 019

  MARSAL 012  MARSAL 020

MARSAL 011

MARSAL 002

MARSAL 006

 

 

L’AQUEDUC DE GORZE (57) 28 février, 2014

Classé dans : LORRAINE — jcn54 @ 7:33

 

aqueduc1

Le tracé s’étendait sur 22 km et reliait la source des Bouillons près de Gorze (208 m) à Metz (184 m).

Il comporte 12,7 km de souterrain, un pont à arcades (niveau 197 à 193 m) de 1,125 km entre Ars-sur-Moselle et Jouy-aux-Arches, puis 8 km de souterrain.

Une partie du souterrain est visible entre Gorze et Novéant-sur-Moselle :

Rive gauche, à Ars-sur-Moselle, se trouvent un bassin ainsi que 2 arcs, puis 5 arcs et enfin une pile isolée.
Rive droite, à Jouy-aux-Arches, restent 16 arcs contigus, ainsi que le bassin collecteur.

aqueduc2

 

 

 

LA CROIX DE LORRAINE 27 février, 2014

Classé dans : LORRAINE — jcn54 @ 5:43

lorraine

Histoire de la Croix de Lorraine    

   La croix à deux traverses, dite « de Jérusalem », remonte aux origines du christianisme. La traverse supérieure, la plus courte, était destinée à porter l’inscription latine « INRI » = Jésus le Nazaréen, Roi des juifs. Inscription connotée d’un certain humour méprisant puisque affichée au-dessus d’un condamné, crucifié pour agitation populaire ayant entraîné la mise en danger de l’autorité romaine.

    La traverse inférieure, plus longue, est le bras horizontal de la croix telle que nous la connaissons. 

      C’est cette croix à double traverse qui va servir de modèle aux reliquaires de la vraie croix. Vers 569, l’empereur de Constantinople, Justin Il, en offre un à Sainte Radegonde, reine franque, épouse de Clotaire 1er. Ce reliquaire est toujours conservé à Poitiers. Au 11ème siècle, Etienne, Roi de Hongrie, se convertit au christianisme. Le Pape lui offre une couronne surmontée d’une croix double. Par la suite la Hongrie christianisée obtient, elle aussi, un reliquaire de la vraie croix en forme de croix à double traverse, laquelle devient à partir de cette époque, et ce jusqu’à nos jours, la Croix de Hongrie, qu’on retrouve dans toute l’Europe centrale.     

 Jusqu’ici, rien à voir avec la Lorraine.  

 En 1290, la dynastie issue du roi Etienne s’éteint. Par l’entremise du Pape, c’est un neveu de Saint Louis, d’origine angevine, qui par mariage devient Roi de Hongrie. Pendant tout le 14ème siècle, trois rois angevins vont diriger le pays, mais le dernier, marié à Jeanne de Provence, meurt sans héritier. La Hongrie est alors réunie à la Bohème et la Reine Jeanne revient en France, ramenant avec elle le reliquaire à double traverse qui, de Hongrois devient alors Angevin et est conservé à Beaupré, en Anjou.

 

 Toujours rien à voir avec la Lorraine, mais…  

   En 1420, le cadet d’Anjou, René, devient par héritage d’un oncle, Duc de Bar et il épouse Isabelle, seule héritière du Duché de Lorraine. Il devient alors le Duc de Lorraine René 1er dit « le bon Roi René », et il décide de faire figurer dans ses armes la croix double, angevine après avoir été hongroise. La voici devenue « lorraine », mais deux évènements historiques de portée européenne vont lui conférer la puissance symbolique que nous connaissons..

  Le premier évènement      

La bataille de Nancy le 5 janvier 1477, la victoire du Duc de Lorraine René Il, petit-fils de René 1er et la mort de Charles le Téméraire.    Charles le Téméraire, Duc de Bourgogne, qui rêvait d’un grand état allant de l’embouchure du Rhin aux Pays-Bas jusqu’aux Alpes, englobant la Flandre, la Lorraine, la Franche-Comté, la Suisse et la Bourgogne. Charles qui se voyait ressusciter l’ancien Royaume de Lothaire, petit- fils de Charlemagne, (Lotharii Regnum, Royaume de Lothaire, par contraction = Lorraine), avec Nancy comme capitale.    Le jeune Duc de Lorraine, René Il, prend alors la croix à double traverse comme signe de ralliement de ses troupes. Celle-ci devient alors « la Croix de Lorraine » par opposition à la croix de Saint André arborée par le Téméraire. Le 5 janvier 1477, le rêve de Charles disparaît avec lui sous le murs de Nancy, et la Croix de Lorraine devient pour longtemps symbole de la volonté d’indépendance de la Lorraine, menacée depuis des siècles de par sa position stratégique entre Rhin et Meuse, entre le Saint Empire Romain Germanique et le Royaume de France.

   Le deuxième évènement    

Dès avant 1914, l’empereur d’Allemagne, Guillaume Il avait envisagé le redécoupage de l’Europe, au cas où les armes lui seraient favorables…

Dès juillet 1940, Hitler reprend cette idée à son compte. Non seulement il ré-annexe l’Alsace et la Moselle, non seulement il partage en deux zones, libre et occupée, le reste de la France, mais il envisage également de partager en deux la zone occupée par une diagonale allant de la Mer du Nord, longeant les Ardennes, la Meuse, séparant la Franche-Comté et une partie de la Bourgogne, et ce jusqu’à la frontière suisse.    Les départements du Nord et de la Somme (Ex Pays-Bas espagnols) seront gérés par Bruxelles. Tous les territoires situés au Nord de la diagonale deviennent zone inter- dite destinée à devenir un protectorat allemand.

A cinq siècles de distance, on croit voir ressusciter l’ambition du Téméraire, ladite diagonale reprenant sensiblement les limites de l’ex Saint-Empire.

A Londres, Charles de Gaulle et l’amiral Thierry d’Argenlieu saisissent le ravivage historique de ce découpage et choisissent alors, pour illustrer leur résistance, de reprendre à leur compte le symbole de la victoire de René Il et de l’effondrement du Téméraire  La Croix de Lorraine qui devient pour toute la France le signe du refus de la défaite et de toutes les compositions… et une fois encore, l’Histoire lui donnera raison.

Nous, nous faisons partie de celles et de ceux qui savent, dans leur être profond, quel en a été le prix…

  

 Et si la Croix de Lorraine devenait aujourd’hui le signe de ralliement d’une autre Europe, d’une Europe AUTREMENT.

 

Daniel Gabriel Vice Président à l’Action Régionale et Départementale .  

(Source : ovh.net)

 

 

LA PLACE STANISLAS A NANCY (54) 24 février, 2014

Classé dans : LORRAINE — jcn54 @ 8:19

La place Stanislas est une place appartenant à un ensemble urbain néoclassique situé à Nancy, dans la région Lorraine, en France, qui est inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO. Voulue par le duc de Lorraine Stanislas Leszczyński, elle a été construite entre 1751 et 1755 sous la direction de l’architecte Emmanuel Héré. Son nom et sa statue centrale ont évolué au gré des bouleversements de l’histoire de France ; elle porte ce nom depuis 1831.

Appelée familièrement par apocope place Stan’, elle est, malgré ses belles proportions (106 mètres sur 124 mètres1), de dimension modeste relativement aux 12 hectares du record français de la place des Quinconces à Bordeaux ; à Nancy même, la place de la Carrière ou le cours Léopold, par exemple, sont plus étendus. Ce ne sont donc pas ses dimensions qui font l’originalité de la place Stanislas mais son aménagement et son rôle dans l’urbanisme de la cité, reliant deux quartiers autrefois indépendants. L’architecture et les monuments sont plus typiques d’une capitale d’Ancien Régime que d’une simple cité de province. Ainsi la planification urbaine d’une grande cohérence architecturale affirme, lors de sa construction, la persistance du pouvoir du duc de Lorraine, qui bénéficie alors encore de son indépendance.

stanislas1

stanislas2

stanislas3

stanislas4

 

 

LA CATHEDRALE SAINT-ETIENNE DE METZ (57) 23 février, 2014

Classé dans : LORRAINE — jcn54 @ 8:08

 

etienne

Construite de 1220 à 1520 à l’emplacement d’un oratoire dédié à Saint-Etienne, la cathédrale est faite de pierres de Jaumont, l’un des principaux matériaux servant à la réalisation de monuments messins. La cathédrale, formée par la réunion de deux églises, a connu des travaux colossaux. De style gothique rayonnant, elle comprend de nombreux vitraux conçus par des artistes de renom à l’instar de Marc Chagall et Roger Bissière – du XIIIe au XXe -, s’étalant sur une surface vitrée de 6.500 m2, et fascinants par leur luminosité et leur virtuosité. La nef s’élève à 42 mètres de hauteur. La cathédrale Saint-Etienne est de fait la plus haute et la plus lumineuse des cathédrales gothiques de France. En sus, elle compte quelques pièces remarquables : des fonts baptismaux, un trône épiscopal, ainsi qu’un petit orgue d’époque Renaissance, de 1537.

etienne1

etienne2

etienne3

 

 

L’ABBAYE DES PREMONTRES A PONT A MOUSSON (54) 18 février, 2014

Classé dans : LORRAINE — jcn54 @ 5:03

L’abbaye des Prémontrés de Pont-à-Mousson, connue aussi sous le nom de Sainte-Marie-Majeure, est un vaste bâtiment du XVIIIe siècle situé dans le quartier Saint-Martin, en bordure de la Moselle à Pont-à-Mousson, dans le département de la Meurthe-et-Moselle (France). Anciennement occupée par l’ordre des Prémontrés, l’abbaye est aujourd’hui un centre culturel de la région de Lorraine.

premontres1

premontres2

(Façade de l’abbatiale)

premontres3

(Escalier de l’Atlante)

 

12
 
 

www.tofik.com |
MANGA |
agbar |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | Toutitest
| randoactu2010
| Le Blog Du Snake