Jean Claude's news

"Le moment présent a un avantage sur tous les autres : il nous appartient." (Charles Caleb Colton)

 
  • Accueil
  • > Recherche : medaillon veau

MEDAILLONS DE VEAU AU CITRON, AU CHEVRE ET AU THYM 28 novembre, 2012

Classé dans : CUISINE GOURMANDE — jcn54 @ 9:00

MEDAILLONS DE VEAU AU CITRON, AU CHEVRE ET AU THYM dans CUISINE GOURMANDE veau

INGRÉDIENTS : (6 Pers.) 6 pièces de médaillon de veau, 1 échalote, 1 gousse d’ail, 6 branches de thym, 40 g de beurre, 1 citron jaune, 6 pincées de fleur de sel, ½ bûche de Saint Maure de Touraine, 2 g de piment d’Espelette, 10 cl de vin blanc.

Ciselez l’échalote, réservez. Incisez les médaillons de veau dans le sens de la largeur, coupez des tranches de fromage de chèvre, mettez-les dans le médaillon.

Dans une poêle, avec une noisette de beurre mousseux, colorez les médaillons de veau pendant 2 min de chaque côté. Assaisonnez de sel et de piment d’Espelette, puis ajoutez 1 gousse d’ail en chemise et 1 branche de thym. Mettez l’échalote et cuisez durant 1 min, puis déglacez avec le vin. Faites ensuite bouillir l’ensemble pendant 2 min.

A l’aide d’un économe, réalisez des zestes de citron, coupez-les en fines lamelles. Dans une casserole, faites bouillir de l’eau, plongez les zestes de citron pour les blanchir, égouttez et réservez.

Préchauffez le four à 230 °C. Déposez les mignons de veau sur une feuille de papier cuisson, finissez  de cuire le veau au four pendant 4 min. Faites réduire la sauce de cuisson des mignons de moitié, puis rectifiez l’assaisonnement. Sur une assiette déposez le médaillon de veau, mettez un peu de jus, décorez avec la branche de thym et les zestes de citron.

Bon appétit.

 

 
  • Accueil
  • > Recherche : medaillon veau

MEDAILLON DE VEAU AU CITRON, CHEVRE ET THYM 6 juin, 2012

Classé dans : CUISINE GOURMANDE — jcn54 @ 5:09

MEDAILLON DE VEAU AU CITRON, CHEVRE ET THYM dans CUISINE GOURMANDE medaillonveauchevrethym

INGRÉDIENTS : (6 Pers.) 6 pièces de médaillon de veau, 1 échalote, 1 gousse d’ail, 6 branches de thym, 40 g de beurre, 1 citron jaune, 6 pincées de fleur de sel, ½ bûche de Saint Maure de Touraine, 2 g de piment d’Espelette, 10 cl de vin blanc.

Ciselez l’échalote, réservez. Incisez les médaillons de veau dans le sens de la largeur, coupez des tranches de fromage de chèvre, mettez-les dans le médaillon.

Dans une poêle, avec une noisette de beurre mousseux, colorez les médaillons de veau pendant 2 min de chaque côté. Assaisonnez de sel et de piment d’Espelette, puis ajoutez 1 gousse d’ail en chemise et 1 branche de thym. Mettez l’échalote et cuisez durant 1 min, puis déglacez avec le vin. Faites ensuite bouillir l’ensemble pendant 2 min.

A l’aide d’un économe, réalisez des zestes de citron, coupez-les en fines lamelles. Dans une casserole, faites bouillir de l’eau, plongez les zestes de citron pour les blanchir, égouttez et réservez.

Préchauffez le four à 230 °C. Déposez les mignons de veau sur une feuille de papier cuisson, finissez de cuire le veau au four pendant 4 min. Faites réduire la sauce de cuisson des mignons de moitié, puis rectifiez l’assaisonnement. Sur une assiette déposez le médaillon de veau, mettez un peu de jus, décorez avec la branche de thym et les zestes de citron.

Bon appétit.

 

 
  • Accueil
  • > Recherche : medaillon veau

EGLISE NOTRE-DAME-DE-BONSECOURS NANCY (54) [2] 9 février, 2011

Classé dans : CHAPELLES, EGLISES, CATHEDRALES — jcn54 @ 9:46

L’étroite nef, n’en est pas moins haute de 18 mètres, coupée par une arcade surbaissée dominée par la voûte. Les murs sont couverts d’un revêtement de stuc coloré, aux motifs géométriques, donnant l’apparence du marbre et d’un arc triomphal tendu de fausses draperies. Cette réalisation est l’œuvre de Louis et Nicolas Manciaux qui travaillèrent longtemps dans les châteaux de Stanislas. Les voûtes sont en 1742 décorées par le peintre Joseph Gilles, dit « le Provençal », les fresques restaurées en 1853 par Bourdier. Ces représentations sont consacrées dans la première travée à l’Annonciation, dans la seconde et troisième travée à l’Assomption et dans la quatrième à l’Immaculée-Conception. Les lunettes sont décorées d’emblèmes de Marie. Les fresques de Bonsecours témoignent de la diversité culturelle de l’époque des lumières, avec des influences venues de France, d’Italie, conformes au goût de Stanislas.

int1.jpg

La chaire est très ouvragée, et d’un travail délicat. Elle repose sur un support fait de quatre branches de style Louis XV, qui se terminent par des symboles des évangélistes. Ces quatre panneaux sont ornés de bas-reliefs représentant le Sauveur entouré des apôtres et trois des évangélistes, Saint Mathieu, Saint Marc et Saint Jean. Sur le dossier est figurée la scène du Calvaire. L’abat-voix est soutenu par deux palmiers qui se courbent et forment une console.

De belles grilles bordaient naguère la coursive, elles ont été enlevées à la Révolution; il ne reste plus aujourd’hui que la grille du sanctuaire au chiffre de Stanislas Leszczynski (S.R.L.L.) que l’on attribue au serrurier Jean Lamour.

int2.jpg

Catherine Opalinska

Le premier monument installé en 1749 côté droit (côté de l’évangile) pour la reine Catherine Opalinska qui mourut le 19 mars 1747. Stanislas commande le mausolée à Nicolas-Sébastien Adam, qui travaillait à Paris et jouissait d’une grande vogue. La famille Adam était déjà bien connue à Nancy car il était le fils du sculpteur nancéien, Jacob Sigisbert Adam.

Ce monument est mis en place en 1749 et c’est une œuvre de grandes dimensions. La reine est représentée agenouillée sur son tombeau, qui est placé devant une pyramide de marbre et supporté par un socle élevé, un ange la guide vers le ciel, dont les splendeurs entrevues éclairent son visage. Son sceptre et sa couronne sont déposés à ses pieds. Un aigle qui tourne sa tête vers la souveraine couvre le tombeau de ses ailes magnifiquement déployées. Sur le soubassement se trouve l’inscription gravée sur du marbre blanc, flanquée de deux bas-reliefs en médaillons de la même matière, d’un puissant relief et d’une grâce inégalable, la Foi et la Charité. L’ensemble est exécuté dans la pure tradition du baroque berninesque (attitude théâtrale, corps déhanché et vêtements agités) qui inspire les artistes de cette époque.

opalinska.jpg

Stanislas Leszczynski

Stanislas décède le 23 février 1766, à quatre-vingt-huit ans au château de Lunéville. Louis XV commande le cénotaphe de Stanislas à Claude-Louis Vassé. Louis XV gendre du roi de Pologne sera moins généreux que son beau père pour Catherine Opalinska. Le tombeau de Stanislas demeure l’œuvre majeure de Claude-Louis Vassé, artiste reconnu de mérite, mais qui n’a pas la valeur de Nicolas-Sébastien Adam. Vassé décède avant d’avoir terminé sa commande et c’est Félix Lecomte, un de ses élèves qui termine le travail en cours. Le monument ne sera mis en place que tardivement en 1775. Le mausolée de Stanislas est placé, du côté de l’épître, face à celui de Catherine Opalinska.

Son ordonnance générale est la même que celle du tombeau de Catherine. Le roi, vêtu à la polonaise, représenté couché à la manière antique sur son tombeau, la main droite est appuyée sur un bâton de commandement. Les attributs de la royauté sont à ses côtés. Sur le vaste socle qui supporte le tombeau est posé le globe terrestre à demi enveloppé dans un voile de deuil, symbole de la douleur universelle que causa la mort du souverain. On remarque à gauche, la Charité qui se pâme, prostrée, et, à droite, la Lorraine agenouillée, tournant avec affection son regard vers le souverain, qui tient une tablette où sont gravés ces textes bibliques : Non recedet memoria ejus, et nomen ejus requiretur a generatione in generationem.

stanislas.jpg

Marie Leszczynska

Marie Leszczynska, fille de Stanislas et reine de France, pour marquer son affection à Nancy, avait souhaité que son cœur repose à Nancy.

Elle décède le 24 juin 1768 et son cœur est transporté dans le caveau le 23 septembre de la même année. Sur demande de Louis XV le monument est commandé à Claude-Louis Vassé. Le monument de Marie Leszczynska est de petite dimension, un médaillon de marbre blanc que découvrent deux génies en pleurs, dont l’un présente le cœur en sa main, donne le profil du visage de la reine. Texte traduit : Au Dieu très bon, très grand : Marie-Sophie épouse du roi Louis XV, fille de Stanislas (…) Versailles 24 juin 1768.

marie.jpg

L’église souffre beaucoup durant la Révolution. Les mausolées sont sauvés en raison de leur caractère artistique et transférés dans la chapelle de la Visitation transformée en musée. Dans la crypte les caveaux sont profanés, le plomb des cercueils envoyé à la fonte, et les corps enfouis dans un coin de la crypte.

L’église échappe cependant à la destruction. En 1806, le chœur est de nouveau restauré car les travaux ont été interrompus par la tourmente révolutionnaire, grâce au soutien de Mme de Bourgogne. En 1807, les monuments sont à nouveau installés dans le sanctuaire et les sépultures rétablies.

L’église reçoit maintes visites princières. Le comte d’Artois (le futur Charles X) vient, le 19 mars 1814, consacrer la Vierge. Il revient en novembre de la même année. En 1831, Louis-Philippe vient s’agenouiller devant la Vierge. L’impératrice Eugénie s’y rend en 1866. À plusieurs reprises, les Polonais se recueillent devant les restes de leur ancien roi.

Elle devient une simple annexe de l’église Saint-Pierre de Nancy, puis en 1841 l’église d’une maison de retraite pour les prêtres âgés du diocèse, d’où le nom de collégiale qu’on lui donne couramment.

Elle ne devient paroisse qu’en 1844, grâce à l’abbé Morel. Il entreprend la restauration complète de l’édifice et agrandit le chœur en 1862. Le pape Pie IX, offre en 1865, un diadème, surmonté d’une croix de Lorraine, tenu par deux anges symbolisant l’un la France et l’autre la Lorraine. À cette occasion du couronnement de la statue de la Vierge, de grandes fêtes consacrent cette faveur accordée par le pape Pie IX.

Le sanctuaire est devenu indissociable de l’histoire de la Pologne. D’illustres personnalités ou de simples citoyens polonais de passage se recueillent sur le cénotaphe de Stanislas.

(source Wikipédia)

 

 
  • Accueil
  • > Recherche : medaillon veau

HOTEL DE VILLE NANCY (54) 8 octobre, 2010

Classé dans : MONUMENTS, BATIMENTS HISTORIQUES DE NANCY — jcn54 @ 9:21

 Comme les autres pavillons, l’hôtel de ville, principal bâtiment de la place, est une création d’Emmanuel Héré. Sa façade est rehaussée des armoiries de la ville, dans l’avant-corps central, tandis que celles de Stanislas figurent sur le fronton et le balcon d’honneur. A l’intérieur, un escalier magistral, chef-d’œuvre de Lamour, mène d’une part au salon Carré, peint par Girardet et siège initial de l’Académie de Stanislas, et d’autre part au Grand Salon aménagé pour célébrer le premier centenaire du rattachement de la Lorraine à la France (1866).

Inspirées de décors italiens et allemands, les peintures de la cage d’escalier conduisant au « salon carré », au bout du vestibule de l’hôtel de ville, constituent un ensemble unique en Lorraine et rare en France. Les fresques ne se dévoilent que progressivement au visiteur. Au débouché d’un espace relativement bas, compartimenté par les rangées de colonnes, la cage d’escalier, baignée dans la lumière des grandes baies vitrées, semble très vaste ; aux premières marches, la superbe « perspective » d’architecture apparaît en entier, ouverte sur un bosquet, ses ferronneries en trompe-l’œil confondues avec celles de la splendide rampe dorée, forgée par Jean LAMOUR. Quelques pas plus loin, le volume paraît se dilater à nouveau, alors que le regard est attiré par le décor du plafond. Des entrelacs de rinceaux, motifs de coquille, médaillons… imitant le stuc, disposés selon une rigoureuse symétrie, y encadrent une jolie coupole en grisaille où s’agitent des putti (angelots).

L’ensemble nous est parvenu amputé, le mur du fond ayant été percé au siècle dernier pour donner au musée, accolé à l’hôtel de ville. Un dessin de FONTAINE, vers 1860, en restitue heureusement les dispositions d’origine. La fresque montrait un escalier conduisant à un jardin, sous une enfilade d’arcades entre les deux massifs de colonnes. Le grand escalier d’apparat venait ainsi s’insérer dans le décor peint, les degrés en trompe-l’œil semblant prolonger la volée principale. Soulignée par un vigoureux effet de contre-plongée, la perspective donnait une impression de profondeur à l’hôtel de ville, bâti tout en longueur ; elle était surtout conçue comme un lointain vis-à-vis de l’hôtel du Gouvernement, qui ouvrait directement sur un jardin, dans l’axe de la place Royale, de l’arc de triomphe et de la Carrière. La correspondance ainsi réalisée entre le décor peint et l’environnement architectural et urbanistique ramène, comme les savants effets scénographiques, à l’esprit baroque, toujours très vivant dans la Lorraine de Stanislas.

oc03072.jpg

La peinture à fresque de JOLY

oc03082.jpg

oc03083.jpg

oc03084.jpg

oc03092.jpg

oc03093.jpg

oc03094.jpg

oc03096.jpg

oc03097.jpg

oc03098.jpg

oc03104.jpg

oc03106.jpg

oc03107.jpg

oc03109.jpg

oc03110.jpg

 

 

 

 
 

www.tofik.com |
MANGA |
agbar |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | Toutitest
| randoactu2010
| Le Blog Du Snake